Beaux livres

Titre : "Ykpaïha la frontière"

Auteur : Joseph Charroy

ISBN : 978-2-954053-06-6

Editeur : Editions Lamaindonne

Conception graphique : David Fourré et Joseph Charroy

Photogravure : Cédric Cailhol

Nombre de pages : 80

Tirage : 600

Façonnage : habillage de couverture rembordé sur carton 24/10ème, gardes in texte, reliure cartonnée, cahiers cousus, dos droit repincé, tranchefile tête et pied 067

Impression :
- Habillage de couverture :
quadri recto
- Intérieur :
quadri recto/verso

Types de papiers utilisés :
- Couverture :
imprimée sur Constellation Jade E/49 Country 115 g
- Intérieur : imprimé sur Munken Lynx 150 g

Ykpaïha la frontière

Ykpaïha la frontière nous entraîne dans une Ukraine insouciante à travers les clichés pris durant un voyage en été 2013 par le photographe belge Joseph Charroy avec sa compagne Florence… « Les images qui sont nées de ce voyage n’appartiennent à aucune actualité. Elles témoignent de l’atmosphère étrange d’un pays en attente, d’un pays de « l’entre-deux ». Étymologiquement,Ukraine (україна) désigne la frontière. »

Ykpaïha la frontière

Descriptif : Ykpaïha la frontière nous entraîne dans une Ukraine insouciante à travers les clichés pris durant un voyage en été 2013 par le photographe belge Joseph Charroy avec sa compagne Florence.

 

 » Été 2013. je pars en Ukraine avec Florence. Aucun but précis. On improvise. Kiev. Train de nuit vers la Crimée. On rejoint Vlad et Anna à Simferopol. Ensemble, on passe du temps près de la Mer Noire. On marche beaucoup. On dort dehors. Il fait très chaud. On bouge souvent. On continue à deux dans l’ouest du pays. Odessa, Vylkovo, les Carpates, Lviv. Quelques rencontres. Plusieurs semaines d’errance. Sans rien comprendre à la langue. Émerveillés par tout ce qu’on voit. Les images qui sont nées de ce voyage n’appartiennent à aucune actualité. Elles témoignent de l’atmosphère étrange d’un pays en attente, d’un pays de « l’entre-deux ». Étymologiquement,Ukraine (україна) désigne la frontière. « – Préface.

« Je photographie au jour le jour, souvent sur la route, simplement en faisant confiance au mouvement accidentel et spontané de la vie. Je privilégie le mouvement et l’instantané. Mes photographies répondent à la nécessité d’entrer dans un rapport intime avec le réel. C’est un travail solitaire qui me conduit vers d’autres solitudes. Des allers-retours, des détours, des promenades et des voyages qui explorent autant les rues des villes que la nature et ses grands espaces, à la poursuite d’une lumière fragile. »