Vous allez apprendre à conjuguer « imprimer » au futur

Le mercredi 20 mai dernier, Escourbiac l’imprimeur, avec la participation de KBA, a organisé une soirée éducative et festive dans le cadre prestigieux de l’Ecole Estienne. Trois sujets étaient à l’ordre de la soirée…

Le mercredi 20 mai dernier, Escourbiac l’imprimeur, avec la participation de KBA France, a organisé une soirée éducative et festive dans le cadre prestigieux de l’Ecole Estienne. Trois sujets étaient à l’ordre de la soirée :

• l’offset HR-UV : de nouveaux horizons pour toute la profession
• la certification ISO 12647-2 en quelques mots
• la remise du 3ème « Cadrat d’Or »

Le choix du lieu est tout sauf anodin : l’Ecole Estienne, dénomination courante de l’Ecole Supérieure des Arts et Industries Graphiques (ESAIG) est un établissement vénérable. Créée en 1889, sous la IIIème République, l’Ecole Estienne doit son nom à la célèbre famille éponyme d’imprimeurs de la Renaissance . Depuis plus de cent ans, l’Ecole forme aux métiers de l’imprimerie, du design de communication et des métiers d’art du livre. D’illustres élèves sont passés par cette institution – citons Robert Doisneau, Edouart Boubat, Jacques Daniel, Siné ou le regretté Cabu (la soirée était d’ailleurs organisée dans le nouvel Amphithéâtre Charlie de l’Ecole).

C’est dans ce lieu chargé d’histoire que Escourbiac l’imprimeur a souhaité fêter son troisième Cadrat d’or, tout en plaçant le débat sur l’avenir et la technologie HR-UV. Car, si ce troisième Cadrat d’or récompense la qualité de travail d’Escourbiac l’imprimeur, ce dernier n’entend pas s’endormir sur ses lauriers, et l’investissement dans une nouvelle presse de technologie HR-UV tout comme l’obtention de la certification ISO 12647-2 en sont la preuve.

Escourbiac l’imprimeur, tout comme l’Ecole Estienne, sait que l’histoire de l’industrie graphique est aussi celle de la modernité et de l’innovation, des premières techniques de xylographie aux technologies numériques d’aujourd’hui. C’est la raison pour laquelle l’invitation pour cette soirée du 20 mai dernier était une invitation à apprendre à conjuguer « Imprimer » au futur !

Après plus de six mois d’expérience, Escourbiac l’imprimeur, en compagnie de Sarah Herrenkind et Michel Bristel, respectivement responsable communication et directeur technique de KBA-France, a d’abord fait le point sur les nombreux avantages de l’offset HR-UV, et  sur les nouveaux horizons offerts par cette technologie pour toute la profession.

Un nuancier de 70 pages permettant de comparer une même impression HR-UV sur un large choix de papiers a été présenté à ceux, nombreux, qui ont répondu présent à l’invitation.

Escourbiac l’imprimeur a ensuite présenté en quelques mots la Certification ISO 12647-2. Cette nouvelle norme garantit la maîtrise de la colorimétrie, de l’épreuve à l’impression. Elle est la seule véritable assurance d’un document conforme aux attentes des clients de l’imprimerie.

L’obtention de cette certification est pour Escourbiac l’imprimeur une nouvelle preuve de sa recherche constante de la qualité et de la satisfaction client.

Un échange passionnant de questions/réponses a succédé à cette présentation.

Philippe Escourbiac, Véronique Pivat (Présidente du Cadrat d’or) et Jean-Philippe Berhr de la CCFI montrant au public les trois ouvrages présentés au jury du Cadrat d’or il y a un an.

Philippe et Alain Escourbiac, et le Cadrat d’Or.

Le programme de la soirée s’est conclu par la remise officielle du 58ème Cadrat d’or par Jean-Philippe Behr de la CCFI à Philippe et Alain Escourbiac.

Rappelons que le Cadrat d’Or est un prix décerné par la CCFI (Compagnie de Chefs de Fabrication de l’Imprimerie) qui récompense la qualité et l’excellence technique. Escourbiac l’imprimeur est lauréat du Cadrat d’or en 2014 pour la troisième fois, après 2003 et 2009.

La soirée s’est conclue par un cocktail dinatoire, moment festif et convivial ou les nombreux convives ont pu découvrir les livres exposés par Escourbiac l’imprimeur, et deviser avec ses dirigeants, ainsi que ceux de KBA France et de la CCFI.

Philippe Knapp et Alain Escourbiac