Catalogues expos
Titre : "Trois folies d'une paysagiste"
Exposition : "Danielle Dixe à Lagrasse (1985-2008)" organisée par la Maison du Banquet et des Générations et l'Association des Amis de Danielle Dixe - Abbaye publique de Lagrasse - Banquet du Livre de Printemps 14-21 mai 2021
Auteur : Estelle Chauvard
ISBN :978-2-37649-026-5
Éditeur : Cardère Éditeur, collection Regards d'ailleurs
Photographies et textes : Estelle Chauvard
Préface : Bruno Msika, Guillaume Lebaudy
Postface : Gilles A. Tiberghien
Achevé d'imprimer sur les presses d'Escourbiac (81, Graulhet) en Octobre 2021
Nombre de pages : 88
Façonnage : format 20 x 26,5 cm à la française, couverture à 2 rabats débordant, rainage et pliage des rabats, reliure dos carré cousu
Impression :
- Couverture : bichromie recto, pelliculage mat anti-rayure recto
- Intérieur : bichromie recto/verso
Types de papiers utilisés :
- Couverture : imprimée sur Munken Polar 300 g
- Intérieur : imprimé sur Munken Polar FSC Mix Credit 150 g
Site de l'éditeur: https://cardere.fr/
Page Ulule du projet: https://fr.ulule.com/danielle-dixe/
Trois folies d’une paysagiste – Danielle Dixe à Lagrasse (1985-2008)
Trois folies d’un paysagiste est un livre d’Estelle Chauvard, version augmentée du catalogue publié au printemps 2021 de l’exposition « Danielle Dixe à Lagrasse (1985-2008)« . Estelle Chauvard a ainsi exposé à l’Abbaye publique de Lagrasse un travail de recherche sur trois jardins originaux, aujourd’hui disparus, créés par la paysagiste Danielle Dixe à plusieurs années d’intervalle : un premier jardin clos, reproduction du roman de Michel Tournier « Vendredi ou les limbes du Pacifique« , un deuxième jardin – maison, la Villa végétale, et enfin un jardin politique en opposition à un projet de bétonnage. L’ouvrage est édité par Cardère, éditeur pastoraliste, dans la collection Regards d’Ailleurs, sous la forme d’une reliure souple à la française de 88 pages, couverture 4 pages à rabats débordants, imprimé en bichromie, offset HR-UV, sur papier Munken Polar Arctic Paper.
Ce qui frappe dans l’histoire de Danielle Dixe, c’est l’extraordinaire contraste entre une extrême solitude et un engagement social impliquant toute une communauté. D’un côté elle semble aller jusqu’au bout de cette solitude, en particulier dans l’expérience de la douleur lorsqu’elle se laisse piquer par une guêpe pour mieux comprendre également ce qui la relie ainsi à l’univers – ou au cosmos. Ce qui tient aussi de l’expérience mystique aboutissant à une trans quasi hallucinatoire décrite dans de très belles pages …
Extrait de « Un jardin en partage », postface de Gilles A. Tiberghien, écrivain philosophe.