Terres basses

Quatre ans après Volta aux éditions lamaindonne, Terres Basses vient confirmer le talent de la photographe Gabrielle Duplantier. Une balade dans un univers dense et riche, où l’on retrouve son goût pour les paysages, les portraits de femmes et d’enfants. Un travail photographique puissant et délicat en même temps, qui ne cède jamais à l’artifice, où elle témoigne de la vie, ses accidents et de ses joies, de ses incertitudes et de ses espérance. L’amour qu’elle porte à ses sujets est toujours là, permettant au lecteur de rentrer dans l’intimité de son entourage, avec pudeur et infiniment de douceur. Un regard amoureux qui transforme le noir en lumière.
Le livre sera disponible en librairie dès le mois de mars 2018 et sera présenté lors de l’exposition Eyes Wild Open au Jardin botanique de Bruxelles dès le 21 février 2018.

 

 

Après des études en Arts Plastiques puis en histoire de l’art à Bordeaux, Gabrielle Duplantier s’investit seule, à Paris, dans la pratique de la photographie. Elle développe peu à peu dans son laboratoire un univers intimiste, poétique et essentiellement féminin dans un noir et blanc lumineux. Ainsi, les portraits de femmes et le Pays basque lui inspirent une vaste série d’images. Lauréate de divers prix et concours photo, son travail fait l’objet de nombreuses expositions et publications en France et à l’étranger.
Terres Basses est son quatrième livre après Les Chapelles du Pays Basque (2009, Cairn), Les Enfants d’Ici (2012, Compagnie Les lézards qui bougent) et Volta (2014, lamaindonne). Gabrielle a également illustré un livre de Marie Darrieussecq, La mer console de toutes les laideurs (2012, Cairn) et apparait également dans deux ouvrages collectifs : Mono by Gomma – Volume One (2012) et Jeunes-Générations (2017, Le bec en l’air)

 

Zoom sur le façonnage

Couverture, détail plat 1, habillage en toile Brillanta, feuillet image collé dans la cuvette créée après embossage

Couverture, détail plat 1, zoom sur l’embossage

Détail reliure : cahiers cousus fil noir