Le 3ème œil sur Albi et le Tarn

Le 3ème oeil sur Albi et le Tarn, Catalogue exposition Alain Durand, Musée Toulouse-Lautrec, intérieur livret ouvert
Catalogue de l’exposition Regards sur Albi, du 3 juin au 17 septembre 2017, 39 photographies d’Alain Durand présentées en salle Choiseul du musée Toulouse-Lautrec et dans les jardins du palais de la Berbie, classés au Patrimoine mondial, plus Le miroir des eaux, 24 photographies en supplément.

 

Pour capter l’éphémère et laisser le champ libre à l’instinctif, Alain Durand laisse de côté le pied, matériel trop encombrant, et opère à main levée. Avec un appareil numérique, sans filtre ni truquage, seuls les défauts de l’image sont gommés, il réalise des photographies dans lesquelles les architectures de briques aux tons chauds semblent se dissoudre dans l’eau pour devenir des surfaces abstraites colorées, lumineuses et mouvantes. Aux vues d’ensemble, il préfère un détail auquel il donne une vie propre, entrant dans l’intimité de la matière, suggérant une atmosphère poétique, juxtaposant des visions fragmentaires pour susciter l’imaginaire, éveiller la curiosité et conduire à la rêverie.
Le musée Toulouse-Lautrec, extrait de la préface.

 

Originalité de chaque bâtisse, diversité des formes, des agencements, accumulation, étroit assemblage de modules uniques, beauté architecturale des sites : la ville trouve respiration, vie, mouvement accentués par les métamorphoses des eaux qui la baignent, sans jamais l’étouffer. Le Tarn, source de vie, créatrice d’un environnement naturel unique qu’Albi choisit, jadis, pour y élire domicile.
Alain Durand

Histoire des clochers de France

Histoire des clochers de France, Charles et Colette Moretti-Prades, Intérieur livre ouvertColette Moretti-Prades, agrégée de Philosophie, et Charles Moretti, ingénieur ESPI et Docteur-ès-Sciences, après une vie professionnelle et familiale bien remplie, quatre enfants et huit petits-enfants, après avoir pas mal voyagé, en particulier en Europe et sur les deux rives de la Méditerranée et de la Mer Noire, ont été surpris de constater que la France avait la plus grande diversité de clochers.
Ils se sont demandés : Pourquoi ? La raison en était-elle à chercher du côté de la mode du moment ou plus profondément dans l’Histoire bien mouvementée de notre pays ?
Alors, à leur retraite, et pendant plus de vingt ans, ils ont parcouru la France afin de trouver la réponse… Tel est le but de ce livre, il n’est pas exhaustif, les clochers sont innombrables ! Mais ils vous engagent à continuer, en allant au delà du millier qu’ils ont photographié, avec émerveillement !

 

Une autre motivation peu être évoquée : tandis que l’Europe se construit, la régionalisation se réveille, comme si l’homme de cette fin de millénaire craignait de perdre ses racines… J.J. Rousseau signalait déjà dans son « Contrat Social » que l’« Intérêt Général » se dissout quand il devient trop vaste… c’est ainsi que la peur fait se recroqueviller. Ceci pourrait expliquer en partie ce nouvel attachement aux clochers qui ont été, dès l’origine, le symbole même de chaque région, autant symbole de foi que de puissance. Toute l’ambiguïté des sentiments humains nous semble concrétisée dans les clochers, ce qui explique les querelles qu’ils ont si souvent suscitées… hier comme aujourd’hui.
Charles et Colette Moretti-Prades, extrait de l’avant-propos

Raid Planète Secours

Raid, planète, secours, livre de Jean-Charles Amalric, intérieur livre ouvert

Raid Planète Secours retrace chronologiquement l’histoire d’un tour du monde à vélo  réalisé par deux cousins marin-pompiers secouristes, Benjamin et Jean-Charles Amalric, contée par de courts récits illustré, par des dessins et des photos. Il raconte des moments brefs et intenses, ainsi que des émotions vécues lors de cette fabuleuse histoire. 15 mois de voyage, 20 pays traversés et 180 000 kilomètres parcourus à vélo pour autant d’initiations aux gestes de premier secours partagées. Raid Planète Secours a été financé grâce à une campagne de crowdfunding sur Ulule.

 

Raid Planète Secours fut l’aventure de notre vie ! Une expérience forte et unique, qui nous a amenés loin au-delà de nos limites, et surtout une expérience humaine tellement riche ! Une expérience personnelle, mais aussi collective, car c’est grâce à vous tous, qui nous avez suivis et soutenus, de près ou de loin, que nous avons pu réaliser ce rêve.
Benjamin Amalric

 

« Ils sont fous » me suis-je dit quand on me les a présentés à Donetsk, en plein hiver ukrainien, alors qu’ils pédalaient déjà depuis de nombreux mois à travers l’Europe. Fous ? Peut-être. Courageux ? Certainement. Généreux ? Surtout. Dotés d’une grande force mentale, d’une soif de découverte et d’une envie de partage, les deux cousins se sont lancés tête dans le guidon dans un magnifique défi à la rencontre d’eux-mêmes mais surtout des autres, accumulant à leur compteur plus de 180000 kilomètres. C’est ce beau parcours parfois semé d’embûches et teinté de doutes, que Jean-Charles nous retrace aujourd’hui avec humilité et beaucoup d’humour dans ce carnet de route où dessins, portraits et anecdotes se mêlent pour nous donner envie peut-être à nous aussi de repousser nos limites.
Sabrina Péru, quatrième de couverture

From Tokyo to Kyoto

From Tokyo to Kyoto, Marion Dubier-Clark, intérieur livre ouvert

From Tokyo to Kyoto est le sixième livre de Marion Dubier-Clark, et le quatrième dans la forme « From … to …« . Après From New York to New Orleans, From San Francisco to Los Angeles et From Florida to Cuba, la photographe globe-trotter change de continent pour aller promener son regard au pays du soleil levant. Rien de plus normal quand on a été exposée à Tokyo en 2013 et que l’on est depuis 2014 ambassadrice Fuji.

Dans les images de son Japon, on croise des couples et des passants, des parents et des enfants, des fleurs de cerisiers et des enseignes de magasins. Un pêle-mêle hautement sensible mais pas moins réfléchi, abouti même. On pense à Sei Shonagon, cette femme de cour des premières années du XI° siècle, lorsque l’âme du Japon vibrait encore depuis Kyoto. La courtisane avait la manie des listes. Des listes aux titres d’une délicatesse inouïe : « liste des choses qui ne font que passer », « liste des choses que les gens ignorent le plus fréquemment ». Mais c’est plus encore à sa « liste des choses qui font battre le coeur » que l’on songe devant les images qu’a rapportées de l’archipel du soleil levant Marion Dubier-Clark. Et c’est là ce qui les rend si précieuses : une certaine qualité d’évocation, la capacité qu’elles ont à résonner en nous en même temps qu’elles nous impressionnent par leur maîtrise et leur beauté formelle.
Benoit Piquet, extrait de la préface.

Une Forme olympique / Sur l’art, le sport, le jeu

Une Forme olympique / Sur l'art, le sport, le jeu - Espace d'art contemporain HEC - intérieur livre ouvertUne Forme olympique / Sur l'art, le sport, le jeu - Espace d'art contemporain HEC - intérieur livre ouvert

Cette publication du Centre d’art contemporain HEC s’articule en deux parties bien distinctes : d’une part le catalogue de l’exposition Une Forme olympique, et de l’autre un essai théorique intitulé Sur l’art, le sport, le jeu, accompagné d’entretiens d’artistes. L’ouvrage s’ouvre des deux côtés suivant que l’on lise l’un ou l’autre. L’exposition, conçue par son commissaire Jean-Marc Huitorel,  s’est tenue sur le campus de HEC à Jouay-en-Josas du 22 septembre 2016 au 24 février 2017.

L’exposition collective Une Forme Olympique présente les œuvres de Gérard Deschamps, documentation céline duval, Dominique Petitgand, Éric Giraudet de Boudemange, Yoan Sorin, Hervé Beurel, Roderick Buchanan, Édith Dekyndt, Massimo Furlan, Taro Izumi, Nøne Futbol Club, Thomas Wattebled. Les photographies sont de Stéphane Ruchaud.

 

L’Espace d’art contemporain HEC a été créé en 1999 à l’initiative de la direction générale du campus, sous l’impulsion de Paul Dini, ancien HEC. Lieu de rencontres et d’expérimentation, cet espace bénéficie d’une programmation annuelle proposant des cours, des conférences, des résidences d’artistes, des expositions, des publications. Un parcours d’art contemporain, Vestiges éphémères, jalonne le parc.

Chédigny – La vie en roses

Chédigny, La vie en roses, Sonia Lesot & Georges Lévêque, Noctuelles Editions, intérieur livre ouvert

Cet ouvrage est la 3ème édition d’un livre publié en novembre 2013 par Sonia Lesot et Noctuelles Editions, et déjà venu à 4500 exemplaires. C’est George Lévêque, le photographe des jardins et des fleurs, qui a eu l’idée d’un beau livre sur les roses de Chédigny.

Chédigny – La vie en roses est une véritable œuvre collective qui a réunit en plus des auteurs la Mairie de Chédigny,  l’Association Roses de Chédigny et le Guide floral du Festival des roses.

 

Osez « La vie en roses » !

Le temps d’une pause.
Ouvrez ! et découvrez Chédigny ;
Un village devenu jardin.
Un paradis, on vous le dit,
où les roses se sont emparées
des rues pour les mieux parer.
La saga de cette métamorphose est sa genèse
vous sont contés en prose
dans un écrin littéraire consacré aux roses…
Un itinéraire tout en photographies s’y appose
Et dessine les portrait de ces belles
Qui, pour l’occasion, ont pris la pose.

Quatrième de couverture

Bora Bora, la première née

Bora Bora, la première née, Alain Lepresle, intérieur livre ouvert
Bora Bora, la première née, apporte un témoignage unique sur une île mythique au sujet de laquelle finalement le monde sait bien peu de choses. Encore protégée d’un occident qui perd peu à peu tous les liens tendus par le temps entre les civilisations, Bora Bora est loin de n’être que la carte postale née dans un imaginaire qui n’y voit qu’une palette de peintre où se mélangent les couleurs pastels. Aide à un « tourisme culturel affiné », ce livre permettra au lecteur de s’immerger dans l’histoire et la culture, qu’il ne pouvait imaginer si riches et si complexes, qui se cachent au fond des vallées que l’on ne visite jamais, au détour des collines que même les habitants de Bora Bora, la perle du Pacifique, ne voient plus depuis longtemps.

A l’éclairage de nos rencontres, discussions sérieuses ou ponctuées de fous rires, et débats de toute nature, Alain a su écouter avec attention, questionner avec curiosité et retransmettre avec passion tout ce qui fait de ce livre sur Bora Bora un ouvrage unique qui aidera le lecteur à mieux comprendre ce qui a fait de Bora Bora la « Perle du Pacifique ».
Au crépuscule de ma vie, il m’arrive de m’endormir en pensant à la déesse Hina… que vous allez rencontrer pour ne plus jamais l’oublier en lisant « Bora Bora, la première née ».
Irma Prince, extrait de la préface

 

Alain Lepresle est né à Nevers avec des yeux trop grands pour se satisfaire des campagnes nivernaises dont il est originaire. Successivement enseignant, puis attaché au Ministère des Affaires Étrangères, chef d’entreprises et journaliste, il a parcouru sa vie comme il a parcouru le monde, «  à grandes enjambées, par peur de ne pas avoir le temps de tout voir et de tout faire ».
Quarante années de voyages et d’aventures lui ont permis de découvrir de multiples cultures du monde, de coucher sur ses carnets les mots qui donnent un sens et une réalité à ses émotions, de s’enrichir au contact de rencontres parfois improbables mais toujours fascinantes, du plus profond de la jungle de Bornéo, dans les hautes vallées Népalaises, dans le Mpumalanga Sud-Africain, et dans cet ouvrage plongeant dans les eaux émeraudes de Bora Bora en Polynésie française.

Solitudes, un beau livre d’art exemplaire

La réalisation de Solitudes, le livre de photographies en noir & blanc de Dorian François, est un très bel exemple de livre d’art à la réalisation originale et sur-mesure : un  coffret sérigraphié contenant cinq livres sous forme de dépliants Leporello imprimés en Offset HR-UV et en bichromie.

Si cette superbe réalisation est atypique dans sa forme, elle sert surtout à merveille le fond désiré par Dorian François. Le coffret de 5 livres répond en toute logique au séquençage en 5 chapitres , et la séparation progressive du journal en voyage intérieur et extérieur est fidèlement reproduite par le choix du Leporello.

Cette adéquation entre forme et fond et cette cohérence font de Solitudes de Dorian François un beau livre d’art exemplaire.

 

 

Le coffret

Solitudes, Dorian François, Coffret étuiCoffret sérigraphié en noir + 1 Pantone sur les plats 1 et dos

 

Solitudes, Dorian François, coffret sérigraphiéÉtui brut en carton de création « Les Naturals » couleur sable

Solitudes, Dorian François, Coffret étui + 5 livres dépliantsLe coffret est ajusté pour contenir les 5 livres : angle biseauté pour sortir les leporello

Solitudes, Dorian François, coffret, vue de la trancheCoffret Solitudes, vue de la tranche

 

 

Les leporellos

 

Vue sur les 5 livres du Coffret Solitudes de Dorian François

5 livres Leporello dépliants, chacun représentant un chapitre du récit « Solitudes »

Leporello, Solitudes, Dorian FrançoisChaque Leporello est composé de volets collés entre eux puis pliés en accordéon

Solitudes, Dorian François, livres dépliants LeporelloLes photographies sont imprimées en bichromie au recto, et le récit au verso en noir seul

Solitudes, Dorian François, vue sur le LeporelloLes premières et dernières pages de chaque dépliant sont collées sur les premières et dernières de couverture

Leporello, Solitudes, Dorian François
L’accordéon déplié permet de découvrir les images panoramiques en séquences toute en gardant une lecture simple

Accès réservé

Accès Réservé, Céline Clanet, Ardi-Photographies, intérieur

Ardi-Photographie, soutenue par la DRAC de Basse-Normandie, a initié en 2012 une campagne photographique confiée à Céline Clanet sur les préfectures des départements du Calvados (Caen), de la Manche (Saint-Lô) et de l’Orne (Alençon). Ce projet singulier de découverte des espaces privatifs des préfectures permet d’exposer sous un nouvel angle les liens étroits entretenus par le pouvoir et la photographie.

 

Mémoire et point de vue artistique utilisent ces véhicules du savoir pour irriguer la pensée et plus particulièrement l’histoire des représentations. Dans le cas précis, il s’agit d’une immersion dans des espaces désignés de l’architecture des préfectures des lieux où architecture, design et portrait photographique participent à l’élaboration de la représentation que le pouvoir souhaite transmettre. Accès Réservé s’introduit dans ce parcours. Les prises de vues captent formes, couleurs et valeurs dans une mise en abîme du quotidien des symboles de la république
Gilles Boussard, Président de l’ARDI-Photographies

 

L’ARDI-photographies – Association Régionale pour la Diffusion de l’Image – est une association loi 1901, fondée en 1964 à Caen. Elle œuvre pour la préservation et la mise en valeur du patrimoine photographique normand et soutient des photographes contemporains afin de tisser des liens entre patrimoine et création.

Céline Clanet est née en 1977 et a grandi dans les Alpes. Diplômée de l’Ecole Nationale Supérieure de la Photographie d’Arles, elle travaille depuis 2005 sur l’Arctique continental européen – plus connue sous le nom de Laponie – son territoire et ses populations. Sa série Máze a remportée plusieurs prix en Europe et aux Etats-Unis, dont le Critical Mass Book Award (USA). Elle a publié quatre livres : Les Chapieux, géographie d’un secret (Actes Sud, France, 2014), Des Barrages et de Hommes en Savoie (Actes Sud, France, 2011), Máze (Photolucida, USA, 2010) et Un Mince Vernis de Réalité (Filigranes, France, 2005).

Habiter la cour, actionnage n°11

Habiter la cour, actionnage n°11, collectif, Sometimes Studio, intérieur

Habiter la cour, actionnage n°11 est le témoignage du partenariat entre Lizières, centre de cultures et de ressources, et le collège Jean Racine de Château-Thierry, dans le cadre d’un atelier artistique soutenu par le rectorat de l’académie d’Amiens, le conseil départemental de l’Aisne et la DRAC des Hauts de France. Habiter la cour est une œuvre proposée par les élèves, transformant cet espace du présent en un lieu d’agissement et de création : la cour est devenue à la fois support et matériau de l’œuvre. Ce beau livre propose de rendre compte de ce travail par des photos et des extraits d’entretien entre divers acteurs du projet : Ramuntcho Matta, artiste, Martine Schwebel, présidente des Amis de Lizières, les élèves de l’atelier artistique et Edouard Smith, enseignant en arts plastiques.

 

Le collège et la cour deviennent deux espaces publics auxquels les élèves sont confrontés. Quelles sont les relations qu’entretiennent les élèves à la cour et à l’autre : la cour est-elle habitée ? Habiter, ce n’est pas posséder l’endroit mais avant tout « se tenir », c’est une manière d’être. Et ici, c’est être avec les autres. Quelles sont ces habitudes liées à cet espace singulier du collège, où tout le monde se rassemble ? Comment un travail artistique, à l’issue des réflexions des élèves, pourra proposer de penser ce lieu autrement ?
Extrait du quatrième de couverture.


Habiter la cour, actionnage n°11, collectif, Sometimes Studio, couverture ouverteBrochure collée en onglet en plat III de couverture, à la Suisse

Habiter la cour, actionnage n°11, collectif, Sometimes Studio, couvertureCouverture visible sous la sur-couverture

Habiter la cour, actionnage n°11, collectif, Sometimes Studio, intérieur