Catalogues expos
Titre : "Tachier-Fortin"
Auteur : Jean-Pierre Tachier-Fortin
ISBN : 2-9101133-23-0
Éditeur : Ville de Gaillac
Graphiste / Studio :
Nombre de pages : 92
Tirage : 400
Façonnage : brochure format 19.10x24 cm, couverture + 2 rabats de 12 cm dépassant, rainage et pliage des 2 rabats, reliure dos carré collé cousu, 2 passages couverture rabats dépassant - bloc 19x24 en retrait.
Impression :
- Couverture : quadri recto, noir + Pantone 169 verso
- Intérieur : quadri recto/verso
Types de papiers utilisés :
- Couverture : imprimée sur Munken Polar 240 g
- Intérieur : imprimé sur Munken Polar 130 g
Tachier-Fortin
Catalogue de l’exposition « Le Château de ma Mère », rétrospective consacrée au peintre parisien Jean-Pierre Tachier-Fortin, au Musée des Beaux-Arts de Gaillac du 2 avril au 5 juin 2016. Cette superbe brochure présente les 51 toiles exposées de Tachier-Fortin, peintes entre 1987 et 2016.
Descriptif : catalogue de l’exposition « Le Château de ma Mère », rétrospective consacrée au peintre parisien Jean-Pierre Tachier-Fortin, au Musée des Beaux-Arts de Gaillac du 2 avril au 5 juin 2016. Cette superbe brochure présente les 51 toiles exposées de Tachier-Fortin, peintes entre 1987 et 2016.
Cette exposition se veut un hommage du peintre parisien Jean-Pierre Tachier-Fortin à sa ville natale, Toulouse, et à ses origines familiales, Gaillac. C’est pourquoi elle a été longtemps mûrie et préparée en particulier après des séjours en résidence d’artistes à Gaillac. Après avoir présenté son travail dans de nombreuses expositions internationales (FIAC…), son inspiration exige de lui depuis quelques années un travail qui associe à ses inspirations anciennes de nouvelles directions en particulier autour des villes qui l’ont inspiré, Casablanca, Dublin, Toulouse et récemment Gaillac. Dans de grandes compositions colorées où l’abstraction crée un espace, viennent s’inscrire avec subtilité des évocations d’atmosphères urbaines aux couleurs flottantes. Le geste y est toujours sincère, les nuances de gris et de blanc frémissent ou bouillonnent et la séduction poétique qui s’en dégage a le goût à la fois d’un impressionnisme revisité comme d’une élégance toute orientale.
– Bertrand de Viviès, conservateur en chef des musées de Gaillac et commissaire de l’exposition.
JPTF a dépassé les frontières : il n’est plus question de parler d’abstrait ou de figuratif. On est au-delà. Dans ce territoire que seul un vrai créateur peut faire naître, renouant avec le plus intime, le plus secret, le château de sa mère, où la vie et la mort le reconduisent aujourd’hui, où il parle à nouveau avec l’accent de ses origines.
– Molly Mine, Critique d’art, Paris.