Revues
Titre : "She Gazes - Hors-Série"
Auteur : She Gazes Magazine
Éditeur : Favorite Production
Direction artistique : Caroline Ruffault
Production : Dominique Faviez, Séverine Colson, Charles Denis
Photographes : Sarah Reimann, Good Boy Wolf, Alexis Maçon Dauxerre, Caroline Ruffault, Jo Zhou, Kristen Joy Emack
Design graphique : République Studio
Typographies : Millionaire, Altiplano, Basel, Optimo
Achevé d'imprimer sur les presses d'Escourbiac (81, Graulhet) en juillet 2021
Nombre de pages : 38
Façonnage : format 22 x 31 cm à la française, couverture 4 pages, intérieur 19 feuillets, dos carré collé
Impression numérique :
- Couverture : quadri recto/verso, pelliculage mat recto, marquage à chaud brillant sur le plat I de couverture
- Intérieur : quadri recto/verso
Types de papiers utilisés :
- Couverture : imprimée sur Munken Lynx 300 g
- Intérieur : imprimé sur Munken Lynx 130 g
SheGazes Hors-série – Magazine photo
SheGazes Hors-série, magazine créé par Caroline Ruffault en association avec Favorite Production afin de proposer un autre regard photographique sur la représentation du féminin et du monde vu par les femmes. Créé en 2018 en réaction au « Male Gaze », ce regard masculin patriarcal décrit par Laura Mulvey, SheGazes souhaite photographier les femmes sans en faire des objets de plaisir. Ce Hors-Série de 38 pages au format à la française présente le travail de 6 photographes : Good Boy Wolf, Sarah Reimann, Kristen Joy Emack, Alexis Maçon Dauxerre, Caroline Ruffault elle même et Jo Zhou. Le « Photozine » est une reliure souple dos carré collé imprimé en numérique sur papier Munken Lynx d’Arctic Paper au grammage de 300 g/m2 pour la couverture 4 pages et de 130 g/m² pour l’intérieur. Le »G » de Gazes est marqué à chaud sur la première de couverture.
Inconsciemment nous reproduisons les cadrages et les codes et en prendre conscience c’est commencer à déconstruire cet apprentissage.
SheGazes veut établir de nouvelles règles en rassemblant le travail d’artistes et de photographes qui proposent une alternative. Ce female gaze, cette sororité du regard est empathique, il prend la femme dans son ensemble et la grandit. C’est une autre façon de filmer et de photographier les femmes sans en faire des objets de plaisir. En ce sens, un homme peut avoir un regard féminin et une femme un regard masculin, ce sont à près tout simplement des constructions sociales.Caroline Ruffault, extrait de l’introduction