Revues
Titre : "Revue EPIC n°7 Été 2022"
Auteur : Revue EPiC
ISBN : 978-2-492630-06-4
Éditeur : Éditions Oblique
Directeur de la publication : Ambroise Touvet
Rédacteur en chef & Directeur artistique : Jean-Matthieu Gautier
Maquette : Franck Ganter & Agence Oblique
Chronique : Marine de Tily
Journalistes : Agathe Kalfas, Cloé Kerhoas Ozmen, Éléonore Simon
Coordination des pages "Canavas" : Cédric Roux
Comité Éditorial : Simon Danger, Wilfrid Esteve, Corentin Fohlen, Agathe Kalfas, Cloé Kerhoas Ozmen, Maxime Riché, Cédric Roux, Éléonore Simon
Contributeurs : Bénédicte Kurzen & Sanne De Wilde, Julia Baier, Mathieu Richer Mamousse, Bouwe Brower
Achevé d'imprimer en juin 2022
Nombre de pages : 176
Façonnage : format 19 x 27 cm, dos carré cousu, couture apparente, fil jaune, plats de couverture avant / arrière 2 x 4 pages, intérieur 11 cahiers de 16 pages
Impression :
- Couverture : quadri recto/verso, pelliculage mat recto
- Intérieur : quadri recto/verso
Types de papiers utilisés :
- Couverture : imprimée sur Condat mat 300 g
- Intérieur : imprimé sur Condat mat 115 g
Revue EPIC n°7 Été 2022
Revue EPIC n°7 Été 2022 – Septième numéro de la revue EPIC « Média lent – Images Larges » éditée par l’Agence Oblique. Les reportages de ce numéro sont signés Bénédicte Kurzen et Sanne De Wilde (Au pays des Ibeji – les jumeaux au Nigéria), Julia Baier (Histoires d’eau – 20 ans de photo dans l’eau), Mathieu Richer Mamousse (Anima – Manifestations de la foi dans 8 pays) et Bouwe Brouwer (de si petits moments … que tu aurais pu vivre – haikus et photographies). La revue démarre sur des photographies de la rubrique Canevas coordonnée par Cédric Roux, et se termine par trois sujets : « les mille visages de Kourney Roy » par Justine Grosset en partenariat avec Phototrend.fr, « Jean-Claude Perrier – En quête d’image » par Marine de Tilly et « Dysturb : Le prix du confort » sur une photographie de Colin Delfosse sur la mine artisanale de Mutanda, République démocratique du Congo
Par un syllogisme simpliste, on dira que pour combattre la peur, il faut apprendre à connaître. C’est du Jules Ferry dans le texte mais peu importe. C’est très beau, d’apprendre à connaître, à comprendre. Parfois cela consiste à se mettre à la place de l’autre, dans sa peau, dans son regard, même si ce regard n’est pas le même que le nôtre bien sûr, ni l’inconscient collectif dont il est héritier.
Le grand mérite de la photographie est que, parfois, elle permet d’approcher ce jeu de rôle. Dans leur essai photographique autour de la question des jumeaux au Nigéria, Bénédicte Kurzen et Sanne De Wilde ont essayé de chausser les lunettes d’un peuple pour mieux comprendre sa mythologie. Ca n’est pas simple et pour autant c’est magistral.
Jean-Mathieu Gautier & Ambroise Touver, extrait de l’édito