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Titre : "L'arbre qui cache la forêt - Œuvres peintes de 2008 à 2017"
Auteur : Régis Minois
ISBN : 2-910133-24-9
Édition et conception : Ville de Gaillac
Commissariat de l'exposition : Bertrand de Viviès, conservateur en chef des musées de Gaillac
Conception graphique : Laure Duchaussoy
Crédits photographiques : Sébastien Pioch, Alice Jacquemin, Nicolas May
Textes : Christine Marsaudon (collectionneuse), Alain Soriano (Maire adjoint), Bertrand de Viviès, Léo Minois (historien dart),
Nombre de pages : 132
Tirage : 354
Façonnage : format 24,10 x 22,10 cm, couverture à 2 rabats 22 cm dépassant, rainage et pliage des rabats dépassant, intérieur 132 pages (cahiers de 12 pages), dos carré cousu
Impression :
- Couverture : quadri recto
- Intérieur : quadri recto verso
Types de papiers utilisés :
- Couverture : imprimée sur Munken Polar (blanc) FSC 300 g
- Intérieur : imprimé sur Symbol Matt Plus Premium White Blanc 170 g
Minois – L’arbre qui cache la forêt – Œuvres peintes de 2008 à 2017
Ouvrage publié à l’occasion de l’exposition au Musée des Beaux-Arts de Gaillac, du 25 mars au 28 mai 2017, L’arbre qui cache la forêt présente des œuvres peintes par Régis Minois entre 2008 et 2017. Cette exposition a été organisée grâce au concours de la Ville de Gaillac et a bénéficié de l’aide de Christine Marsaudon et Yves Durkheim, tous deux cofondateurs d’Artuoz et collectionneurs de l’œuvre de Minois depuis 1994.
Après avoir baigné dans la lumière de l’Italie, Régis Minois a trouvé en Albigeois une terre d’accueil où la nature tarnaise lui a livré les nuances colorées dont il ne cesse depuis de transcrire toutes les sensibilités. Le regard aigu de Minois et son geste pictural précis ont su capter tout l’éphémère des vibrations de la lumière sur l’eau, des effets du soleil sur la nature et les arbres. Les recherches chromatiques et sa pâte ont créé ainsi des rendus qui surprennent le regard, alternant des plongées dans l’œuvre avec des effets miroir qui désorientent et fascinent à la fois. Les effets projetés sur de grandes toiles, voire des polyptiques enveloppent le spectateur dans un univers onirique où l’on hésite entre le calme des profondeurs et les effets cristallins et vibrants des lumières fugaces. Le peintre est toujours à la lisière de deux univers dans une veine impressionniste mais complètement revisitée et sublimée.
Bertrand de Viviès – Conservateur des musées de Gaillac