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Titre : "L'Oiseau-feu ou le livre des discrètes métamorphoses"

Auteur : Emmanuel Alexia

ISBN : 9782-9584199-0-5

Éditeur : autoédition

Textes : Emmanuel Alexia, Amalia de Klemm

Relecture : Christine Delafoulhouze, Brigitte Guilhot, Valéry Jamin, Claire Landais

Traductions : Yoko Amiel, Vicky Cole, Sachi Ogura

Photographies : Emmanuel Alexia, Christophe Carbonnel (bols), Sarah Robine

Conception graphique : Christelle Bouvet - Lezarius

Achevé d'imprimer en septembre 2022

Nombre de pages : 112

Façonnage : format 20 x 30 cm à la française, brochure dos carré cousu, couverture 4 pages, intérieur 6 cahiers de 16 pages + 2 cahiers de 8 pages

Impression :
- Couverture :
quadri recto/verso, pelliculage mat anti-rayures recto
- Intérieur : quadri recto/verso

Types de papiers utilisés :
- Couverture :
imprimée sur Condat Matt Périgord blanc 100% PEFC 350 g
- Intérieur 64 pages : imprimé sur Gardapat 13 Kiara blanc 135
- Intérieur 48 pages : imprimé sur Munken Lynx Rough blanc 120 g

L’Oiseau-feu ou le livre des discrètes métamorphoses – Emmanuel Alexia

L'Oiseau-feu ou le livre des discrètes métamorphoses, Emmanuel Alexia, autoédition
L'Oiseau-feu ou le livre des discrètes métamorphoses, Emmanuel Alexia, autoédition

L’Oiseau-feu ou le livre des discrètes métamorphosesEmmanuel Alexia a créé à l’occasion de ses soixante ans une collection de douze bols, les Kanreki Chawans, convoquant toutes les nuances de rouge – le kanreki est le 60ème anniversaire en japonais. La collection a été exposée à la galerie Le sentiments des choses, Paris 3ème. Le livre autoédité a été financé grâce à une campagne de crowdfunding sur KissKissBankBank. Le catalogue présente la collection complète Kanreki dans un cahier central de 64 pages imprimés en quadrichromie sur papier Gardapat Kiara 135 g/m², avec 48 pages de textes et de photos avant et après le cahier central, imprimées également en quadrichromie sur papier Munken Lynx Rough 120 g/m². La couverture 4 pages est imprimée en quadrichromie sur Condat Matt Périgord 350 g/m².

 

Nous nous connaissions déjà depuis plusieurs années, j’admirais et présentais depuis longtemps ses bols, lorsqu’Emmanuel Alexia m’a dit « Je ne suis pas un potier, je suis un poète. Je fais des poèmes avec l’argile et le feu. » Je le savais, bien entendu, mais ces paroles ont mis en évidence ce qui était la clé non dite de notre amitié et de notre accord : c’est dans le champ poétique que nous nous sommes rencontrés et que je rencontre chacun des bols singuliers d’Emmanuel.

…/…

C’est ainsi que l’exposition Kanreki est née : douze bols convoquant toutes les nuances du rouge, de la rose trémière au rire des lèvres belles de Rimbaud, mais aussi la chair et la neige délicatement réunies, des écritures de terre ocre, les nuages d’or des temples, l’automne au palais impérial…

Amalia de Klemm, extrait du livre

 

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