Livres

<strong>Titre : </strong> "L'état voyageur  - Chroniques vagabondes"

<strong>Auteur : </strong>Cécile Poujade

<strong>ISBN : </strong>978-2-9593241-0-9

<strong>Éditeur : </strong>Les relieurs de mondes

<strong>Conception graphique et illustrations :  </strong>François Saint-Rémy

<strong>Relecture :  </strong>Nelly Renault

<strong>Achevé d'imprimer</strong> en avril 2024

Nombre de pages :  216

Format : 13,5 x 21 cm à la française

Impression :
- Couverture : 
quadri recto/verso
- Intérieur :  quadri recto/verso

Types de papiers utilisés :
- Couverture :
imprimée sur Munken Lynx 240 g
- Intérieur : imprimé sur Munken Print White 90 g

Façonnage :  dos carré cousu, couture rouge, 2 coins ronds, couverture 4 pages + dépliant 4 volets encarté sur le dernier carnet, rainage et pliage 2 plis roulés

L’état voyageur – Chroniques vagabondes – Cécile Poujade | Les relieurs de mondes

L'état voyageur - Chroniques vagabondes - Cécile Poujade - Les relieurs de mondes

L’état voyageur – Chroniques vagabondesCécile Poujade | Les relieurs de mondes – Avec L’état voyageur, sous-titré chroniques vagabondes, Cécile Poujade est parti à la recherche de l’état d’esprit du voyage, un voyage à soi, une introspection sur sa propre façon de voyager. L’autrice est partie pendant 3ans en « auto-résidence, alternant marche et écriture en Bretagne, Pyrénées, Haute-Savoie et au bord du Loing pour cerner ce qu’elle a fini par appeler « l’état voyageur ».  Financé grâce à une campagne de crowdfunding sur KissKissBankBank, l’ouvrage est une reliure souple de 216 pages au format à la française, imprimé en quadrichromie, offset HR-UV trame fine, sur papier Munken Print White pour l’intérieur et Munken Lynx pour la couverture. Un carto-bibliographie, carte imaginaire où les lieux sont des livres, est encartée sur le dernier cahier, dépliant 3 volets s’ouvrant en guise de 3ème de couverture.

 

J’écris sur les voyages qui ne se racontent pas. Ceux que l’on garde pour soi, au chaud de l’intime.

J’écris sur les joies du voyage si fortes qu’on y repense en doutant de les avoir vécues. Le goût du vent frais sur son visage, le thé brûlant après une longue journée de marche, le grouillement d’une rue indienne qui s’éveille sans vous regarder, une page qui s’accorde avec le paysage… Soudain l’émotion d’être là, plus que jamais vivant et présent à nous même et au monde.

J’écris pour garder la trace de ces moments indescriptibles : les joies de l’état voyageur.

J’écris pour inviter tous les voyageurs à ne pas s’oublier et à s’emporter dans leur voyager. Embarquer ses oreilles, ses yeux, son coeur, sa liberté. Avec ces bagages-là, on part au bout du monde.

Quatrième de couverture