Livres
Titre : "Les cheveux longs"
Auteur : Aurélien Voldoire
ISBN : 978-2-9550579-1-9
Éditeur : autoédition
Photographies : Aurélien Voldoire
Textes : Gérald Vidamment
Préface : Nikos Aliagas
Achevé d'imprimer en décembre 2024
Nombre de pages : 72
Format : 21 x 19 cm à l'italienne
Impression :
- Couverture : blanc en numérique, embossag d'une cuvette pour le plat 1 pour vignette imprimée
- Vignette dans cuvette : quadri recto, pelliculage brillant
- Intérieur : quadri recto/verso
Types de papiers utilisés :
- Couverture : imprimée sur Materica bleu cobalt 360 g
- Intérieur : imprimé sur Gardapat 13 Kiara 135 g
Façonnage : reliure à la cuisse : bloc cousu, couture apparente, fil couleur, collage du bloc en onglet en P3 de couverture, rainage et pliage du rabat 4 cm de la couverture, fourniture et pose d'un élastique bleu clair fermé aux 2 extrémités par un ferret métallique
Les cheveux longs – Aurélien Voldoire
Les cheveux longs – Aurélien Voldoire – Premier livre du photographe Aurélien Voldoire, lauréat du Vincennes Images Festival 2022, consacré à la série éponyme « Les cheveux long ». L’artiste nous fait voyager dans une ode familiale à l’enfance et à l’imaginaire à partir de photographies noir et blanc et couleurs de ses enfants en extérieur, en Corse, en Provence et en Gironde. Préfacé par Nikos Aliagas, et enrichi de textes de Gérald Vidamment, les cheveux longs est une autoédition de 72 pages imprimée en quadrichromie, offset HR-UV trame fine, sur papier Gardapat 13 Kiara 170 g/m². L’ouvrage est une reliure à la suisse, bloc cousu couture apparente collé sur le Plat 3 de la couverture composée d’un papier Materica bleu cobalt de 360 g/m² imprimé en blanc numérique. Une vignette imprimée et pellicullée brillant est collé dans une cuvette embossée sur le plat 1 de la couverture. Un rabat de 4 cm permet d’envelopper le bloc cousu, fermé grâce à un élastique à ferret métallique.
L’univers poétique d’Aurélien Voldoire nous emmène dans un monde onirique où le cadre n’est que prétexte. Une fenêtre silencieuse sur un monde aussi réel qu’imaginaire, un univers où la lumière de l’été résiste encore comme une ultime catharsis avant le chemin du retour. Dans ses images la lumière est minérale, la mer devient ciel, l’ombre déploie ses racines sur la matière ambrée comme un temps tisse sa toile inecorable de souvenir
Nikos Aliagas, extrait de la préface « une fenêtre silencieuse »