Livres
Titre : "L'éphémère & l'éternel"
Sous-titre : de A à Z et de Z à A une déambulation au fil des mots et des images...
Auteurs : Jacques Bretaudeau, Yves Desbuquois, Denis Lebioda
ISBN : 978-2-9560662-1-7
Éditeur : la Vie qui Va
Textes : Jacques Bretaudeau
Photographies : Yves Desbuquois, Denis Lebioda
Préface : Christian Morzewski
Maquette, mise en page et réalisation: Brigitte Lebioda
Achevé d'imprimer en avril 2022
Nombre de pages : 120
Façonnage : format 24,10 x 32 cm à la française, reliure dos carré collé, cousu fil blanc, couverture 4 pages + 2 rabats débordants, rainage et pliage des rabats
Impression :
- Couverture : quadri recto, pelliculage mat anti-rayures recto
- Intérieur : quadri recto/verso
Types de papiers utilisés :
- Couverture : imprimée sur Munken Polar 300 g
- Intérieur : imprimé sur Munken Polar FSC 150 g
Site de Denis Lebioda: http://denis-lebioda.com/
Site de Yves Desbuquois: https://yves-desbuquois.fr/
L’éphémère & l’éternel – de A à Z et de Z à A – édition la Vie qui Va
L’éphémère & l’éternel – de A à Z et de Z à A une déambulation au fil des mots et des images… La maison d’édition associative la Vie qui Va publie un beau livre de mots et d’images : 52 photographies d’Yves Desbuquois et Denis Lebioda et 52 textes de Jacques Bretaudeau autour de la fugacité des impressions et de la résistance au temps qui passe. Les mots choisis pour tirer chaque texte vont de A à Z – aventure, brouillamini, cache-cache, destinations, ellipse, etc – et de Z à A – zéro, yeuse, xats, week-end, vestiges, etc. L’auteur Christian Morzewski a écrit la préface.
L’ouvrage est une reliure souple de 120 pages, dos carré collé, au grand format à la française, imprimé en quadrichromie, encres HR-UV, sur papier Munken Polar d’Arctic Paper au grammage de 300 g/m² pour la couverture à rabats débordants et 150 g/m² pour le bloc intérieur cousu fil blanc.
En partie issues d’un important projet intitulé « Mémoires des lieux ordinaires en Champsaur » (qui donnait à voir et à penser le destin des constructions humaines lorsqu’elles ont été peu à peu délaissées puis abandonnées), ces photographies qui se sont ajoutées à bien d’autres, parce qu’elles conjuguaient la fragilité et la permanence, se sont associées dans mon esprit à une très belle phrase de Georges Pérec dans « Les Revenentes », cette entreprise monovocalique qui, avec le génie de l’écriture qu’on lui connaissait, permettait à l’auteur de « La Disparation » de nous adresser de nouveau un clin malicieux : Je cherche en même temps l’éternel et l’éphémère.
Jacques Bretaudeau, novembre 2020, extrait du livre