Catalogues expos
Titre : "La nature reprend ses droits"
Auteur : Exposition collective
Éditeur : Fondation VIlla Seurat & Association Isis Expo
Introduction : Danielle Cohen, historienne d'art
Postface : Catherine Kessedjan, présidente de la Fondation Villa Seurat pour l'Art contemporain
Achevé d'imprimer sur les presses d'Escourbiac (81, Graulhet) en octobre 2020
Nombre de pages : 80
Façonnage : format 21 x 23 cm à la française, couverture 4 pages avec 2 rabats dépassants de 16 cm, intérieur 3 cahiers de 16 pages + 4 cahiers de 8 pages, dos carré cousu, rainage et pliage des rabats
Impression :
- Couverture : quadri recto, pelliculage mat anti-rayure recto
- Intérieur : quadri recto/verso
Types de papiers utilisés :
- Couverture : imprimée sur Invercote 1 face 300 g
- Intérieur : imprimé sur couché moderne mat 170 g
Site de l'Espace Beaurepaire: https://www.espacebeaurepaire.com
La nature reprend ses droits dans l’Espace Beaurepaire
Catalogue de l’exposition « La nature reprend ses droits » qui aurait du avoir lieu du 3 au 14 novembre 2020 à l’Espace Beaurepaire, Paris, et qui a été annulée suite aux conditions sanitaires. La Fondation Villa Seurat pour l’Art contemporain a lancé sur le thème de la nature qui reprend ses droits un appel à projets, et un jury a sélectionné 7 lauréats sur plus de 750 dossiers : Julia Armarger, Aurélia Cerulei, Juliette Frescaline, Sylvia Gouberne, Eun Youn Leepark, Alpha et Christopher Mason (Hipkiss) et Lucie Richard-Bertrand. 9 artistes sélectionnés par l’Association Isis Expo sont venus s’ajouter, 5 céramiste et 4 peintres : Marc Albert, Hélène Delanoé, Jean-François Delorme, Charles Hair, Jeanne K. Lichtlé, Grégoire Lemaire, Freeda Miranda, Andoche Praudel et Elisabeth Raphaël. Toutes ces oeuvres choisies expriment la nature dans toute sa complexité, ordonnée ou sauvage, matricielle, absente, en pleine métamorphose. Le catalogue est une brochure souple de 80 pages imprimée en offset HR-UV en quadrichromie.
En proposant ce thème de création aux artistes, nous étions loin d’imaginer les moments inattendus vécus en 2020. Au-delà de nos prises de conscience, la relation quotidienne et sensible au monde extérieur, une intuition et un regard sur notre environnement, l’appréhension d’un malaise collectif, justifiaient ce thème d’une nature falsifiée. Il prêtait à une réflexion entre Eros et Thanatos, qui mobilise l’énergie des artistes et leurs représentations, traverse leur imaginaire et renverse des valeurs. Cette relation ambigüe qui anime la création artistique est une aspiration à créer de l’unité et de l’altérité, du déchirement et des éclats…
Danielle Cohen, historienne d’art, extrait de l’introduction