Beaux livres
Titre : "Jours de pelère"
Auteur : Cyrille Vidal, Sylvain Lapique
ISBN : 978-2-9578526-1-1
Éditeur : autoédition
Photographies : Cyrille Vidal
Textes : Sylvain Lapique
Design : Éditions Passiflore
Achevé d'imprimer sur les presses d'Escourbiac (81, Graulhet) en Octobre 2021
Nombre de pages : 144
Façonnage : format 32 x 24 cm, habillage imprimé et contrecollé avec rembords sur carton 30/10, intérieur en cahiers de 8 pages cousues, gardes vierges rapportées 2 x 4 pages, reliure cartonnée, couture fil blanc, dos droit repincé, tranchefile tête et pied
Impression :
- Couverture : quadri recto, pelliculage mat grainé
- Intérieur : quadri recto/verso
Types de papiers utilisés :
- Couverture : imprimée sur Symbol Mat Plus Premium White 150 g
- Gardes rapportées : Arena Extra White Smooth 170 g
- Intérieur : imprimé sur Arena Extra White Smooth 170 g
Jours de pelère, Cyrille Vidal et Sylvain Lapique
Jours de pelère, ce sont les jours de fête et de communion collective qui entourent le sacrifice du cochon. Cyrille Vidal le photographe rend hommage à cette tradition rurale du tue-cochon en Gascogne à partir d’un stock de 25 années de clichés sur le sujet. Sylvain Lapique, journaliste et écrivain, vient appuyer les images du photographe d’une douzaine de texte parfaitement documentés. L’ouvrage est une reliure cartonnée, couture fil blanc et dos droit repincé, au format à l’italienne. La couverture plein papier Symbol Mat Plus Premium White au pelliculage mat grainé est imprimée en offset HR-UV, trame fine, en quadrichromie, tout comme l’intérieur sur papier Arena Extra White Smooth de Fedrigoni.
Je devais avoir 5 ou 6 ans qand j’ai vu mon premier pèle-porcs, c’était au Pesqué. Le père Laulon tirait le cochon du fond de la porcherie pour le rapprocher de la meït où l’attendaient les hommes. Malgré les cris de l’animal, impressionnants pour enfant de cet âge, j’avais voulu moi aussi aider à le tenir : » Tu es trop petit, l’année prochaine tu lui tiendras la queue… » m’avait répondu le boucher.
Des souvenirs d’enfance, Cyrille Vidal, extrait du livre page 5