Formula Helmet – La légendes des casques de F1 1969-1999 – Version Ayrton Senna

Avec Formula Helmet, Bruno Bayol nous raconte l’âge d’or de la Formule 1 à travers l’angle totalement inédit de l’histoire des casques. La légende des casques de F1 1969-1999 nous fait entrer dans un univers incroyable à partir d’anecdotes, d’explication techniques et de belles histoires humaines. 18 pilotes ont participé à sa réalisation, dont 5 champions du monde, ainsi que les meilleurs peintres et techniciens des principales marques de casque. Afin de rendre hommage à l’un des plus célèbres duels de l’histoire, le beau livre est décliné en deux versions : Alain Prost et Ayrton Senna. Le contenu reste identique, mais chaque édition possède sa propre identité graphique, couleurs jaune-vert pour Ayrton Senna et blanc-rouge pour Alain Prost. Sir Jackie Stewart, doyen des champions du monde de F1, préface le livre édité par RedRunner, la maison d’édition créée par Lionel Lucas. Formula Helmet est bilingue français/anglais.

L’ouvrage imprimé en quadrichromie, offset HR-UV trame fine 240, sur couché moderne demi-mat 150 g/m² se caractérise surtout par son façonnage d’exception. La couverture est habillée de papier et d’une suédine rappelant le tissu utilisé dans les casques de F1. Sa surface a suivi trois conditionnements successifs : un pelliculage satin anti-rayures, un vernis U.V sélectif brillant et un vernis 3D. Une étiquette personnalisée et adhésivée est ajoutée, après découpe selon un tracé particulier, avec 4 coins ronds et mi-chair au dos. Enfin, l’édition Ayrton Senna est également personnalisé à ses couleurs : gardes rapportées Papago Moutarde, tranchefile Politi jaune-vert, signet vert et fil de couture du même vert que le signet.

On prenait tout ce qui passait pour améliorer la sécurité…
Juan Manuel Fangio fut l’un des premiers pilotes à porter un casque durant chaque course. Il se fournissait chez la firme anglaise Herbert Johnson qui produisait alors des casques pour le polo. Au milieu des années soixante, Bell a produit le casque Magnum. Bruce McLaren, qui courait beaucoup aux Etats-Unis, m’en a ramené un. Quand j’ai couru à Indianapolis, Buco m’a fait une belle offre mais je suis revenu chez Bell car j’étais persuadé qu’ils faisaient les meilleurs casques.
Dès lors, j’ai toujours porté un casque intégral pour des raisons de sécurité. J’ai été l’un des premiers à l’utiliser en Formule 1. Les docteurs m’ont dit une chose à laquelle je n’avais songé. La plupart des dommages que mon ouie avait subie étaient dûs au port du casque ouvert. C’était un autre argument en faveur du casque intégral. Pourtant certains pilotes étaient claustrophobes comme Jochen Rindt. Cela affectait son équilibre et ça le rendait malade.
Sir Jackie Stewart, extrait de la préface