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Titre : "D'un bâtiment l'autre"

Auteur : Sonia Ben Gherissi et Emmanuel Da Silva

Éditeur : A contre Courant et Toit et Joie Poste Habitat

Direction artistique et de création : Emmanuel Da Silva

Assisté par : Stéphanie Daccache

Création graphique : Isa Balog

Achevé d'imprimer sur les presses d'Escourbiac (81, Graulhet) en Novembre 2021

Nombre de pages : 96

Façonnage : format 24 x 20 cm à l'italienne, couverture 2 volets, dos carré cousu

Impression :
- Couverture :
quadri recto, pelliculage mat anti-rayures recto
- Intérieur : quadri recto/verso

Types de papiers utilisés :
- Couverture :
imprimée sur couché moderne demi-mat 350 g
- Intérieur : imprimé sur couché moderne demi-mat 150 g

D’un bâtiment l’autre, projet A Contre-Courant

D'un bâtiment l'autre, A contre Courant, Toit et Joie Poste Habitat, intérieur

D'un bâtiment l'autre, A contre Courant, Toit et Joie Poste Habitat, intérieur

D’un bâtiment  l’autre est un projet proposé par le bailleur social Toit et Joie Poste Habitat : une rencontre entre Sonia Ben Gherissi, gardienne d’une résidence à Sartrouville avec Emmanuel Da Silva, artiste engagé et pluridisciplinaire. Les photos réalisées en argentique avec un appareil jetable ont été réalisées le long des chemins empruntés par Sonia entre son quartier et Paris. L’ensemble donne un portrait intime et sensible de la ville de Sartrouville. Le beau livre édité par A Contre Courant, la structure de l’artiste, est un dos carré cousu de 96 pages imprimée en offset HR-UV en quadrichromie sur couché moderne demi-mat.

Sonia a toujours vécu à Sartrouville. Aujourd’hui gardienne, elle représente un témoin essentiel, actif et investi de l’évolution de sa ville.

Fidèle à la tradition de fraternité des villes dont les habitants se considèrent comme appartenant à un clan, elle nous offre une immersion en retenue et pourtant particulièrement intime de Sartrouville par la photographie. Son regard sur la ville fixe une période particulière : celle de la crise sanitaire due au Covid, celle du confinement et des vastes espaces urbains vides. Pendant cette crise, Sonia était très sollicitée en tant que point d’ancrage et de communication entre tous, car chez Toit et Joie le gardien est une force, et représente un lien entre les résidents. Cette empreinte photographique est spontanée et impulsive, les clichés étant pris avec des appareils photo argentiques, sans possibilité d’efface, de recommencer, de corriger, de sélectionner.

Extrait du livre