Dualité

Dualité est le premier beau-livre d’art du photographe Thierry Dumont, alias Duthy. En 2015, le graphisme du travail offert par Arnaud Vareille, « Rêves dansés », et la rencontre avec une Modèle, Jade Saget, ayant dans ses cordes la pratique de la danse et du violoncelle, ont donné l’idée à Thierry Dumont, d’imaginer une série qui mettrait en scène le choix difficile entre ces deux activités, sur fond musical, qui aurait pour thème : l’une ou l’autre versus l’une et l’autre… en l’occurrence : la dualité !

 

Descriptif : Dualité est le premier beau-livre d’art du photographe Thierry Dumont, alias Duthy. En 2015, le graphisme du travail offert par Arnaud Vareille, « Rêves dansés », et la rencontre avec une Modèle, Jade Saget, ayant dans ses cordes la pratique de la danse et du violoncelle, ont donné l’idée à Thierry Dumont, d’imaginer une série qui mettrait en scène le choix difficile entre ces deux activités, sur fond musical, qui aurait pour thème :

l’une ou l’autre versus l’une et l’autre… en l’occurrence : la dualité !

Thierry Dumont est né à Versailles en 1964 (il vit dans les horizons de Nimes depuis 1978). Œuvrant sous le pseudo Duthy, il pratique la photographie en autodidacte depuis 2009. Lors de leur visite en 2010, avec son épouse, au Festival Européen de la Photo de Nu, à Arles, l’envie de se lancer dans cette discipline Artistique qu’est la Photo de Nu est apparue comme une évidence.

En 2011, il participe au Workshop de Jean Turco et son avis sur les images qu’il ose lui présenter (avec comme modèle son épouse) l’encourage à persévérer dans cette voie. Pour ce faire, il s’inscrit au stage organisé par les Rencontres Cévénoles de la Photo, avec comme Maîtres de stage : Lucien Clergue et Ken Damy. La rencontre avec Lucien fut une révélation, et son approche du Nu, graphique, l’a conforté dans ses choix artistiques.

Touché par le superbe travail de Gérard Vallet, présenté aux Baux-de-Provence en 2011, ainsi que celui de la série « Les Garçonnes » de Martial Lenoir à Arles la même année, il acquiert l’idée qu’une présentation de son travail par série homogène permet d’interpeller le public. En 2013, les ambiances de clair obscur vues chez Bruno Redares, et, à l’opposé, les éclairages et la mise en scène présentée par Pierre Sage en 2014 ont participé à la compréhension d’un travail accompli.