Beaux livres

Titre : "Dans ses yeux"

Auteur : Dominique Baudis

ISBN : 979-10-93315-00-3

Conception graphique : Rudy Nimsguerns

Nombre de pages : 128

Tirage : 2000

Façonnage : couverture  + 2 rabats 22,5 cm dépassant, intérieur en cahiers de 16 pages, reliure dos carré cousu

Impression :
- Couverture :
quadri recto + finition Pell Mat Soft Touch
- Intérieur : bichromie avec encres UV noir + 1 Pantone recto/verso

Types de papiers utilisés :
- Couverture :
imprimée sur couché demi mat 350 g
- Intérieur : imprimé sur couché de création Arctic Volume 150 g

Dans ses yeux

Cet ouvrage est un recueil posthume de photographies prises par Dominique Baudis au Proche Orient de 1975 à 1980 en tant que grand reporter pour TF1, accompagnées par cinquante signatures prestigieuses, de Bernard Maris à Philippe Labro. Dans ses yeux présente une facette méconnue de l’homme public, celui du grand reporter, et de la vie à côté de la guerre dans un monde agité par de nombreux conflits.

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Descriptif : cet ouvrage est un recueil posthume de photographies prises par Dominique Baudis au Proche Orient de 1975 à 1980 en tant que grand reporter pour TF1, accompagnées par cinquante signatures prestigieuses, de Bernard Maris à Philippe Labro. Dans ses yeux présente une facette méconnue de l’homme public, celui du grand reporter, et de la vie à côté de la guerre dans un monde agité par de nombreux conflits.

 

Dans ses yeux, j’ai puisé des millions de seconde de bonheur. Dans ses yeux, je voyais les reflets atténués de la vie. Dans ses yeux, j’habitais.
Il me racontait que lorsqu’il était grand reporter dans la fournaise orientale, son caméraman filmait sous sa conduite et lui s’abritait derrière l’autre œil de son Nikon. Il voyait l’autre face de l’actualité, la vie quotidienne qui continuait, les femmes qui travaillaient, les enfants qui jouaient, la nature si belle alors que les armes pointaient. Cet autre regard l’a aidé. Après, il a laissé son appareil à tout jamais.
… Il a aimé changé la vie en disant que la dernière était toujours la plus belle. Je le vivais aussi. Les amis d’ici ou de là-bas ont bien voulu regarder à nouveau les images de vie qu’il a captées dans cet Orient si fondateur pour lui.
Sur les bords du Nil, il me disait que la mort, telle le soleil qui disparaissait, renaîtrait avec le matin.
Pour être encore dans ses yeux.

Ysabel Sarah Baudis