Beaux livres
Titre : "Confins"
Sous-titre : Dessins et quatrains - 17 mars - 10 mai 2020
Auteur : Benoît Mercier
ISBN : 978-2-9573690-0-3
Éditeur : autoédition (Benoît Mercier M3)
Préface : Béa Nevaux
Photogravure : Escourbiac l'imprimeur
Achevé d'imprimer sur les presses d'Escourbiac (81, Graulhet) en août 2020
Nombre de pages : 72
Façonnage : format 24,10 x 32 cm à la française, couverture en jaquette 4 pages et 2 rabats latéraux de 22 cm, rainage et pliage, intérieur en cahiers de 8 pages, reliure couture apparente, fil blanc, léger encollage transparent du dos, pose non collée jaquette à 2 rabats latéraux débordants de 1mm le bloc des pages de l'intérieur
Impression :
- Couverture : bichromie noir + 1 gris recto, pelliculage mat anti-rayure recto
- Intérieur : bichromie noir + 1 gris recto/verso
Types de papiers utilisés :
- Couverture : imprimée sur couché moderne demi-mat 350 g
- Intérieur : imprimé sur Munken Polar FSC Mix Credit 170 g
Confins selon Benoît Mercier
Bernard Mercier, sculpteur, Peintre et Illustrateur de Dinan, s’est appliqué à créer un dessin à l’encre de chine et un poème en écho pendant chaque jour du confinement, entre le 17 mars et le 10 mai 2020. Confins – dessins et quatrains – 17 mars- 10 mai 2020 est le résultat de ce travail : 55 jours de confinement pour 55 dessins et poèmes. Le livre d’artiste de 72 pages au format à la française est imprimé en bichromie, en offset HR-UV trame fine, sur papier Munken Polar d’Arctic Paper. Le façonnage de l’ouvrage en couture apparente, fil blanc, avec un léger encollage transparent sur le dos – le bloc intérieur étant enveloppé d’une couverture / jaquette aux rabats latéraux – permet au lecteur une ouverture à plat. Béa Nevaux, artiste plasticienne, a préfacé le beau livre.
Lorsqu’en mars 2020, le confinement s’est mis en place, un chemin de création s’est ouvert devant moi … par nécessité. Chemin à la fois pesant et lumineux qui m’a mené aux confins de ma pratique artistique.
Ce livre recueille les 55 dessins et quatrains que j’ai créés au fil des jours lors de cette période. Des oeuvres où le pinceau dialogue avec la plume, où l’encre de chine colore les mots et les rimes. Entre humour, rêves et désir d’évasion, elles révèlent un questionnement que cette expérience de confinement a laissé émerger. Question sur notre rapport à la nature, interrogations sur notre capacité à sortir d’un modèle qui a montré ses limites, à inventer un autre rapport au monde.
Bernard Mercier, extrait du livre, deuxième de couverture