Beaux livres
Titre : "Choses mêlées"
Auteur : Bernard Merces
ISBN : 978-2-7466-9500-9
Nombre de pages : 240
Tirage : 500, dont une série de tête numérotée de 1 à 60
Façonnage :format 24 x 26 cm à la française, habillage de couverture rembordé sur carton 24/10, gardes rapportées 2 x 4 pages, reliure cartonnée, cahiers cousus, dos droit repincé, tranchefile
Impression :
- Couverture : quadri recto/verso + pelliculage Soft Touch mat
- Intérieur :quadri recto/verso
Types de papiers utilisés :
- Couverture : imprimée sur couché demi mat 150 g
- Gardes rapportées : imprimées sur Pop'set noir 170 g
- Intérieur : imprimé sur Symbol Tatami White 150 g
Page Facebook de l'auteur: https://www.facebook.com/profile.php?id=100013677559036
Choses mêlées
Choses mêlées, beau livre du photographe Bernard Merces, est un ouvrage de 240 pages contenant 230 photographies dont la lecture est proposée par paire, c’est à dire deux photos sur une planche. Bernard Merces a longtemps réfléchi avant de publier ces photographies. Cet ensemble nous montre sa sensibilité et ses choix très éclectiques. Son œil va naturellement vers des formes et des situations courantes de la vie qui, à travers son objectif prennent un regard particulier. Bernard Merces sait profiter de la providence, l’amie du photographe. Il a opté pour une présentation de ses photographies par paires : créées non pas en fonction de critères directs (le sujet), mais selon des critères de fond ou de forme, ou parce qu’elles montrent une continuité. D’où le titre qu’il a choisi : Choses mêlées. Le travail qu’il nous donne à voir reflète l’exigence et la rigueur photographiques qu’il s’impose. Ces photographies ont une âme.
On l’aura compris, ce livre me représente, moi en profondeur, c’est ainsi. Je sens cela intimement, sans pouvoir livrer les clés. Dans les choix esthétiques que je fus fatalement amené à faire, j’ai tâché d’en tenir compte. Laisser vivre autant que possible, en parallèle, le flux «à clés» et le flux esthétique.
Bernard Merces, extrait de la préface
« Choses mêlées» réveillent beaucoup d’émotions. On ne peut s’empêcher de penser qu’une femme de sa présence imprégne et relie tous les lieux, les déplacements de l’auteur du recueil.
Malka – Page 206