Revues
Titre : "Chabe N°1 - Lyon par ses photographes"
Auteur : l'équipe de l'Arrière-Cour
ISSN : en cours
Éditeur : Les médias éphémères
Directeur de publication, rédacteur en chef : Raphaël Ruffier-Fossoul
Direction artistique : Juliette Treillet et Guillaume Berthillier
Iconographie : Mika Sato, Fabrice Héron et Valérie Philippe
Design graphique : Jean Caillou Studio
Corrections : Vincent Degrez
Achevé d'imprimer en octobre 2022
Nombre de pages : 160
Façonnage : 16,5 x 24 cm à la française, dos carré cousu, couverture 4 paghes + 2 rabats de 11 cm, 10 cahiers de 16 pages, rainage et pliage des rabats
Impression :
- Couverture : quadri recto/verso, pelliculage mat recto
- Intérieur : quadri recto/verso
Types de papiers utilisés :
- Couverture : imprimée sur couché moderne mat 300 g
- Intérieur : imprimé sur Magno Natural 140 g
Page KissKissBankBank du livre: https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/chabe
Chabe! n°1 – Lyon par ses photographes
Chabe! n°1, premier opus de la nouvelle revue créée par une vingtaine de photographes lyonnais et les journalistes du media indépendant L’Arrière-Cour, rassemblés autour du manifeste « Lyon par ses photographes« . Expression typique du parler lyonnais, chaber signifie regarder. Chabe! est une aventure collective ayant l’ambition de créer un nouvel espace de qualité destiné autant aux connaisseurs qu’au grand public. Plus de 160 photographes lyonnais ont répondu à l’appel de la revue qui en présente une sélection dans ce Numéro 1. L’ouvrage, financé par une campagne de crowdfunding sur KissKissBankBank, est une brochure souple au format à la française imprimé sur papier Magno Natural.
Jeunes photographes talentueux, ils se demandaient pourquoi notre newsletter était uniquement illustrés par des dessinateurs. Pourquoi pas des photographes ? « Parce que les sujets d’enquête ne sont pas les plus faciles à mettre en image » avions-nous répondu. De là est née l’idée qu’il fallait inventer autre chose. Avec une conviction : les photographes ont beaucoup à raconter. Et pour une fois, nous souhaitions leur donner la parole. C’était notre point de départ, ce serait aux photographes de définir les sujets et aux journalistes de s’y adapter.
Raphaël Ruffier-Fossoul, extrait de l’édito