Beaux livres

Titre : "Aux Fils du Vent"

Auteur : Karen du Vivier

ISBN : 978-2-9500435-0-4

Texte : Sophie Jardon

Auto-édition

Nombre de pages : 72

Façonnage : format 24 x 16 cm à l'italienne, habillage de couverture rembordé sur carton 24/10, marquage à chaud,intérieur 32 pages (4 x 8 pages), insertion d'un dépliant 6 pages après la page 32, suivi de 40 pages (5 x 8 pages), gardes rapportées, reliure cartonnée, cahiers cousus, dos droit repincé, tranchefile tête et pied

Edition Collector (100 exemplaires= : fourreau avec ouverture sur le devant et coupe en triangle pour attraper le livre, habillage extérieur, sans habillage intérieur, marquage à chaud

Impression :
- Couverture :
quadri recto quadri recto, marquage à chaud sur plat 1 et dos
- Fourreau : marquage à chaud sur plat 1
- Gardes rapportées : noir recto/verso
- Intérieur : trichromie noir + 2 couleurs pantone recto/verso + trame 240

Types de papiers utilisés :
- Couverture :
imprimée sur toile Cialux blanc 140 g
- Fourreau : Wibalin Naturals
- Gardes rapportées : imprimées sur Keaykpmour Basalt 120 g
- Intérieur : imprimé sur Symbol Tatami White blanc 150 g

Aux Fils du Vent par Karen du Vivier

Aux Fils du Vent, Karene du Vivier, interieur

Aux Fils du Vent, Karene du Vivier, interieur

Aux Fils du Vent est une série photographique réalisée par Karen du Vivier aux Saintes Maries de la Mer auprès de la communauté gitane. La photographe tisse avec ce livre un portrait touchant d’hommes, de femmes et d’enfants, de liberté et de ferveur. Aux Fils du Vent a été exposé en 2019 à Arles et à Paris, dans le cadre de Fotofever (Caroussel du Louvre), de Voies Off et à la Galerie Rastoll. Le beau livre à l’italienne de 72 pages est imprimé en trichromie sur papier Symbol Tatami White de Fedrigoni, avec une couverture rouge sur toile Cialux. Une version « Editor » est également réalisée dans un fourreau habillé en toile Wibalin Naturals.

 

Ce que personne ne ferait, les gitans osent le faire. Ils ont l’audace des gens libres. L’audace des gens qui ne se soucient plus du regard des autres depuis longtemps. Ils ont appris à exister autrement que dans le regard et le jugement d’autrui, sans quoi ils n’existeraient plus.
Il y a ce qu’il se fait conventionnellement et puis il y a ce que font les gitans parce que cela part de leur instinctif profond. Le cœur a ses raisons que la raison ignore. Chez les gitans, les pieds suivent bien plus le coeur que la raison, et donne ce genre de scène décalée et intemporelle.

Sophie Jardon, extrait du livre

 

De retour en France en 2013  après une vingtaine d’années passée à travers les continents pour sa carrière professionnelle de manager dans la pharma, Karene du Vivier entre à l’école supérieure des métiers de l’art et de la culture, puis devient stagiaire photographe au laboratoire Art Photo Lab, puis à l’hebdomadaire La Semaine de l’Allier. En 2018, elle expose son premier travail (Extraits-Galerie Rastoll – Voies Off Arles), et publie en 2019 Au Fils du Vent, son premier ouvrage, suivi d’une exposition à la Galerie Rastoll à Paris.