Onemizer puise son inspiration partout, autant dans les classiques de l’Art que dans sa vie quotidienne, en passant par ce qui a bercé son enfance.
Il rêve que l’on ne perçoive plus comme indésirables ces écritures, dessins, graffitis, dans lesquels il a trouvé sa plus grande force d’inspiration.
Qu’elle se prétende documentaire ou s’affirme comme création, toute production photographique enregistre quelque chose, négocie avec l’autre pour lui soustraire et lui donner, en même temps, une image : ici beaucoup de vivant, de l’humaine, du végétal, de la nature, de la vie urbaine proche et lointaine, mais aussi des paysages, des dalles de ciment, des lunettes fantaisie ou encore du songe fabriqué à la main. Chaque image construit et restitue, en même temps, un espace hors de tout, hors de là où ils sont. Là où les photographes mettent les pieds, même perspective ordinaire peut s’évanouir…
Un historien revient dans sa ville natale pour mener une enquête : découvrir le parcours de l’Association la Dentelle au Point d’Alençon mais aussi ce qui la porte.
Tel un fil reliant différentes pièces de dentelle, cet historien réunit les indices en nous livrant ses réflexions. Il tâtonne, s’étonne et nous guide. Il révèle toute une histoire singulière, avec, en filigrane, les étapes de la réalisation du Point d’Alençon.
A ses côtés, nous cheminons, comme inspirés par l’esprit de la dentelle.
Derrière le Point d’Alençon, il y a bien un art toujours expressif, soutenu par une équipe qui se remet sans cesse en question. Depuis 50 ans, la dentelle et l’association dessinent leurs destins entremêlés, entre souvenirs et inventions.
Pauline Pradier Jaricot, dessinatrice et amie d’Axelle Perrin, a accepté de l’accompagner dans l’exploration non-exhaustive du potager.
« Potimarrons potelés,
potirons, giraumons,
ne vous laissez pas berner
votre heure s’annonce :
lancez-vous dans la fronde
qu’afin enfin
vous participiez à la grande farce du monde
A bas les citrouilles ! »
Francesco Jodice se consacre à ses premières recherches artistiques dès 1995 après obtention de son diplôme d’architecte, il utilise les médias de la photographie et de la vidéo. Depuis 2008, il met au centre de ses recherches la géopolitique. Il enseigne la photographie, les arts visuels et les études curatoriales mais également le design visuel à la NABA (Nuova Accademia di Belle Arti) à Milan. Ses œuvres font partie de nombreuses collections publiques italiennes et internationales.
Un costume gris-vert, une tonsure en V, des lunettes rondes cerclées or, un acrochordon sur la joue gauche, un côté autoritaire, un lobe de l’oreille fendu, un esprit joueur, un pied égyptien, constituent l’Inconnu façon puzzle. La question initiale «Qui est-il ?» se transforme rapidement en «Est-ce bien lui ?» puis «Ce n’est pas possible que ce soit lui ?».
A l’occasion d’une autophotobiographie parsemée d’Histoires de Coïncidences Bizarres, l’auteur passe l’Inconnu aux rayons X et cumule les pièces à conviction qui l’amènent après plus de quarante ans à une ultime rencontre.
Robert Spangle est un photographe et un designer basé à Los Angeles, en Californie. Il a grandi à Malibu et a servi chez les United States Marine Corps de 2007 à 2011 avec deux déploiements en Afghanistan. Après son service, fasciné par la mode masculine, il devient tailleur à Londres puis commence à travailler en tant que photographe de mode pour GQ au Royaume Uni et sur les fashions weeks du monde entier. Il lance sa marque de mode Observer Collection en 2018 avant de renouer avec le photo-journalisme en 2022, année pendant laquelle il a longuement documenté le conflit ukrainien.
Afghan Style une étude du menswear des hommes Afghans.
L’homme afghan est selon Robert Spangle “the most stylish on Earth”. Dans cet ouvrage quasi-encyclopédique au croisement du reportage photo et de la mode, il analyse le style, les silhouettes, les couleurs, les matériaux et les accessoires des hommes afghans.
Réalisé sur plusieurs années en deux déploiements, à la fois avant et après la venue au pouvoir des talibans. Le livre est préfacé par le rédacteur en chef du Magazine Esquire, Nick Sullivan.
Alain Eli a 25 ans d’expérience professionnelle dans les prises de vue numérique haute définition. Il est spécialisé dans la photographie industrielle, numérique, publicitaire et d’architecture. Ce livre tiré à 150 exemplaire fait partie de la collection privée de Jacqueline et Alain Eli.
La photographie est allée à la rencontre de Patrick Darphin dès ses 16 ans et ne l’a plus quitté depuis. Plus qu’une passion, une profession : il a exercé dans le domaine de la prise de vue industrielle et militaire pour de grands groupes. Aujourd’hui à la retraite, il a repris ses premières passions qu’est la nature et le voyage.
Ce livre vous propose une balade en billebaude.
Cette technique photographique, à l’inverse de l’affût, permet au hasard d’une rencontre de photographier les animaux, les paysages, les fleurs et tout ce que la nature nous offre.
Ces images sont le résultat de plusieurs année d’observations et de randonnées sur les chemins du Parc Naturel Régional Périgord Limousin.
Jean-Jacques Gelbart est un admirateur du patrimoine historique et naturel, admiration qu’il partage par ses éditions et ses photographies. Cette collection « World Heritage Sites » célèbre différent sites du
patrimoine mondial des pays Arabe, notamment Bahreïn. Ces ouvrages s’inscrivent dans la collection « Patrimoine mondial de l’UNESCO », en partenariat avec l’UNESCO.
