Une concrétisation des idées révélée par Escourbiac

Une sublime commande privée pour un ouvrage ambitieux.
Un palais toscan, nouvel écrin pour le talentueux Thomas Jorion.
Un soin particulier (toujours) apporté à la gravure par Point 11, une concrétisation des idées révélée par Escourbiac.

Editions Imogene

Notre client est très content

Bonjour Alain,

L’inauguration des 50 ans de l’usine s’est passée.
Le livre accueillit avec beaucoup d’intérêt !
Notre client est très content 😉

Je vous transmets quelques photos à toutes fins utiles;

Bien cordialement

Nadia Anemiche

Inauguration des 50 ans de l'usine / Chronique d'une fabrique de l'eau, Nadia Anemiche

Inauguration des 50 ans de l'usine / Chronique d'une fabrique de l'eau, Nadia Anemiche

Le cahier des charges a parfaitement été suivi

Bonjour Vincent,
Nous avons bien reçu les exemplaires hier, nous sommes très satisfaits du résultat, le cahier des charges a parfaitement été suivi, merci !

C’était super et intense !

Nous sommes dans le train de retour, c’était super et intense !
Benoît s’est parfaitement occupé de nous.

Photo Charlotte Bommelaer

Papier couché ou non couché ? La grande question… 1/2

Dans cette première partie, nous traiterons le sujet du papier couché.

 

Le papier couché en deux mots

On dit d’un papier qu’il est couché lorsque ses faces sont recouvertes d’une ou plusieurs couches à base de kaolin, rendant ses surfaces plus lisses.

 

Couché mais varié

Un papier couché peut être mat, satiné ou brillant. Son touché est plus doux, mais plus froid, sa blancheur plus franche, son imprimabilité optimisée grâce aux pigments des encres qui restent davantage en surface.

 

Aimé des encres

Blancheur, opacité, touché, bouffant, lissé, grain, grammage, « main »,… de nombreux critères distinguent les papiers couchés existants. Mais dans tous les cas, plus la partie imprimée est dense, plus l’encre brille et le contraste élevé.

 

Originalité, pourquoi pas ?

Les auteurs, éditeurs, annonceurs, recherchent aujourd’hui des papiers plus singuliers, différenciants : papiers à matières, à grains, avec un touché moins lisse, une opacité plus importante.

 

Qualité d’abord

Chez Escourbiac l’Imprimeur, le papier couché « maison » proposé par défaut est un couché triple couche aux qualités d’imprimabilité testées et approuvées par nos équipes.

Son prix comme son approvisionnement sont négociés chaque année. Il répond aux besoins de nombreux clients.

 

Le conseil Escourbiac

Escourbiac l’Imprimeur dispose de deux matériauthèques, l’une à Paris, l’autre à Graulhet.

Régulièrement mises à jour, elles présentent les dernières tendances en matière de papiers et aident à faire les choix les mieux adaptés aux résultats escomptés.

Nous vous y attendons !

 

Rendez-vous très prochainement pour la deuxième partie de ce « Le saviez-vous », dans lequel nous évoquerons le sujet du papier non couché.

 

 

Nos convictions dictant nos choix avant toute considération commerciale, nous assumons pleinement nos recommandations.

 

Les excellents conseils prodigués

Salut John,

Je n’ai pas pris le temps de t’écrire pour te remercier du travail effectué !
Les clients sont super contents du résultat, et moi aussi!

Merci d’avoir accepté le projet dans des délais si courts, ainsi que pour les excellents conseils prodigués.

À bientôt pour une autre collaboration j’espère.

C’est comme cela que j’aime les livres !

Les livres sont bien arrivés chez moi, un peu en avance. Je commence semaine prochaine la distribution…
Je te remercie, et à travers toi toute l’équipe, pour le travail réalisé et la qualité de l’ouvrage. C’est un bel objet et c’est comme cela que j’aime les livres !

Merci pour ce travail splendide!

Bonjour, bonjour!

Encore un tout grand bravo et merci pour ce travail splendide!
Christophe et moi avons appréciés vos talents à tous, nous sommes encore plus impatients de découvrir le bébé…!

Grand merci,
Eric

Le saviez-vous ? Trame aléatoire. Oui ? Non ?

En deux mots 

Comme son nom l’indique, la trame aléatoire répartit de façon aléatoire les différents points d’impression (cyan, magenta, jaune et noir). Et ce, avec une très grande finesse. Oubliée, la petite rosace de la trame traditionnelle apparaissant lorsqu’on regarde de très près un document imprimé.

 

Dès les années 90 

L’utilisation de la trame aléatoire n’est pas nouvelle. Elle date des années 90. Et s’est démocratisée avec l’apparition des premiers CTP (Computer To Plate) au début des années 2000, date de nos premiers essais.

 

Un bémol 

Très vite nous nous sommes rendu compte des limites de cette technologie pour la reproduction photographique. La trame aléatoire n’est -à notre avis- pas adaptée à tous les projets. Même si elle apporte une valeur ajoutée à certains types de reproductions (aquarelles, images à faible contraste ou faible netteté)

 

Finesse, oui mais 

Si la trame aléatoire permet une très grande finesse d’impression, la répartition spécifique des couleurs quadri fait très légèrement perdre de la netteté et du piqué à l’image reproduite.

 

Des surcoûts à prévoir

Elle rend particulièrement instable la chaine graphique d’impression. Et nécessite une calibration particulière à chaque utilisation. Ce qui induit des surcoûts non négligeables.

 

La solution : La Trame 240

Plutôt que de préconiser cette technique pour imprimer des photos ou des documents de haute qualité, nous avons opté pour la trame 240, bien plus adaptée pour reproduire les plus infimes détails d’une image.

Un choix conforté par le jury du Cadrat d’Or, qui à trois reprises nous a récompensé pour la qualité des travaux présentés à son célèbre concours. Tous imprimés en trame 240.

 

Nos convictions dictant nos choix, avant toute considération commerciale, nous assumons pleinement ce parti pris.

Bientôt un autre « Le saviez-vous »

Votre engagement à nos côtés

J’ai voulu laisser passer un peu de temps. Revenir lentement au livre. À votre travail. Prendre le temps, oui. Une semaine s’est écoulée depuis que John m’a remis quelque exemplaires de Une vie de rêves. Et c’est toujours le même plaisir en le feuilletant, en le redécouvrant. C’est chaque fois la même émotion.

Le souci du détail, l’attention portée à chaque partie de sa réalisation, du marquage à froid jusqu’aux signets, de la reliure jusqu’au façonnage, sans oublier la très haute qualité d’impression, respectant les nuances des meilleures images et tirant vers le haut les moins bonnes, les sauvant littéralement même parfois.

Ainsi, je voulais vous remercier très chaleureusement de votre engagement à nos côtés dans ce projet. De votre rigueur, de votre talent. Vous avez fait honneur au joli mot d’artisans. Honneur à notre travail aussi, à Rose et à moi.

Nous aurons l’occasion de travailler à nouveau ensemble, et je m’en réjouis d’avance!