Nos vifs remerciements

Cher Monsieur Escourbiac,

Nous avons pu découvrir et admirer le Léonce Verny imprimé par vos soins.
De son côté, le commanditaire, la CAIA est très satisfaite de la qualité des ouvrages.
Nous vous adressons nos vifs remerciements.

Tout est parfait

Bonjour,
Nous venons de recevoir les calendriers et je tiens à vous féliciter vous et votre équipe pour le travail accompli !!
Que ce soit de la réactivité à la qualité du travail, tout est parfait bravo.
Bon week-end

Votre savoir-faire professionnel

Bonjour,

J’ai eu dans les mains hier « L’Empreinte » imprimée pour l’Attraction Céleste.
Moment émouvant 🙂

Un grand merci à vous pour la qualité du résultat, l’accompagnement et votre savoir-faire professionnel.

Bien cordialement,

Emmanuel Veneau

Escourbiac au Salon de la photo 2023

Escourbiac l’imprimeur sera une fois de plus au rendez-vous au Salon de la Photo cette année ! Retrouvez-nous du 5 au 8 octobre à la Grande Hall de la Villette au stand C 116.

Pendant quatre jours, le salon réunit les plus grandes marques du monde de l’image, fabricants, importateurs, écoles et groupements professionnels afin de vous faire découvrir à travers des ateliers pratiques et démonstrations les dernières innovations technologiques, de la prise de vue à l’impression !

Cette année, Jean-Christophe Béchet sera l’invitée de la Grande Exposition, l’un des temps forts du week-end ! Le Salon mettra à l’honneur les créations du photographe à travers une exposition sur le sujet des « Paysages Habités. ».

 

Découvrez notre programme : 

 
Rencontrez nos équipes lors de lectures de portfolio organisées par Compétence Photo : John Briens, Expert-conseil chez Escourbiac ainsi que Gilles Cargueray, notre Directeur éditorial des éditions Odyssée.
 

 Les conférences

Différentes conférences auront lieu sur le stand de Réponses photo.

 

JEUDI 05 OCTOBRE : 

16h00 : Conférence “Autoédition/Édition quelle voie choisir ?”   avec Ewan Lebourdais, photographe et peintre officiel de la marine

 

Cette conférence sera suivie d’une séance dédicaces des livres “Carènes Acte II”, “Neptune” et la présentation en exclusivité de son nouveau livre “Bois & Marines, des forêts à la mer”.

 

SAMEDI 07 OCTOBRE

14h00 : Conférence « Parcours et focus sur le livre 1992 » avec la photographe Françoise Huguier 

16h00 : Conférence « Gérer son studio et son approche artistique » avec le photographe Michael Guez et Rencontre/Signature du livre « Time is now » 

 

Invitation offerte :

Récupérez votre invitation en vous rendant sur la billetterie du site du Salon de la Photo

Cliquez sur « Vous avez un code invitation ? Cliquez ici » puis entrez le code : 

ESCRBC23

C’est un produit magnifique

Bonjour John, ce matin, nous avons reçu le livre et nous te remercions : c’est un produit magnifique, nous l’apprécions beaucoup.
Mais nous te remercions encore plus pour nos rencontres riches en idées et en suggestions que tu nous as proposées avec un profond respect de notre ressenti.
Un grand merci également à toute l’équipe qui a travaillé avec toi : Pauline, Pascal et Christophe.
Fabrizio e Loredana

Photo Fabrizio Uliana

La qualité d’impression du livre

Comme tu l’as peut-être suivi, j’ai bien entamé les envois des livres photos, et les premiers retours sont très positifs, et toutes et tous louent la qualité d’impression du livre, et sa superbe couverture. Et tu y es évidemment pour quelque chose !

J’ai l’impression que je ne t’ai pas assez remercié, de ton aide, de tes conseils et de ton soutien tout au long de ce projet, donc je le fais ici.

Vos compétences nous ont impressionnés

Cher John, merci de transmettre ce message à toute l’équipe de Graulhet :

Après une longue gestation, je suis très content d’avoir pu assister (pour ne pas dire participer) à la naissance de mon livre « Ni rebelle, ni soumise » !

La bonne ambiance, votre amabilité et vos compétences nous ont impressionnés, et nous gardons un très bon souvenir de cette demi-journée passée dans vos locaux mardi dernier.

Bien cordialement

La compétence et la disponibilité de toute l’équipe

Un petit retour car les catalogues sont bien arrivés ce matin.
Pas grand chose à dire, c’est parfait comme d’habitude, cela fait plaisir !
Un grand merci pour ta disponibilité, et pour la compétence et la disponibilité de toute l’équipe, c’est vraiment très agréable de travailler comme ça.

Vivant, le sacre du corps de Isabelle Chapuis

Biographie d’Isabelle Chapuis

Isabelle Chapuis est née en 1982 à Paris. Dès l’enfance, sa pratique de la danse et du dessin de modèle vivant oriente son art vers le corps humain. Sortie en 2005 de Penninghen dont elle est diplômée en direction artistique, elle fait le choix de la photographie comme moyen d’expression. Isabelle Chapuis remporte le Prix Picto en 2010. Deux ans plus tard, son travail est primé par la Bourse du Talent et exposé à la Bibliothèque nationale de France François Mitterrand qui l’intègre dans son fonds photographique. Depuis, son travail est régulièrement exposé dans les galeries et institutions, parmi lesquelles Les Rencontres de la Photographie (Arles, 2023), Le Festival Les Femmes s’exposent (Normandie, 2023), la Galerie Analix Forever, (Genève, 2023), la 110 Galerie (Paris, 2022), le Palais Galliera (Paris, 2018), le festival Planches Contact (Deauville, 2018), Le Grand Musée du Parfum (Paris, 2016), la galerie Bettina (Paris, 2013 et 2015), le Centre d’Art Contemporain du Château des Adhémar (Montélimar, 2016). Son travail est également exposé aux Etats-Unis à l’Espace Snap (2015), ainsi qu’en Asie à la Galerie Paris 1839 (Hong Kong, 2016), au sein du mois Franco-Chinois de l’environnement (Chine, 2016) et au French May (Hong Kong, 2013).

Pouvez-vous nous présenter la série « Vivant, Le sacre du corps » ? 

« Mon travail se déploie de la photographie plasticienne à la photographie thérapeutique. Ces deux dimensions se nourrissent l’une et l’autre et ont pour point commun la relation au corps. A la croisée de ces deux pratiques, pendant sept années, j’ai photographié et interviewé des femmes et des hommes sans apprêt. J’ai choisi d’écouter ces détails de l’intime avec lesquels nous venons au monde et qui muent au cours de nos existences. Animée par un désir profond de porter aux nues la dimension sacrée du corps, d’accompagner chacun à s’offrir un regard bienveillant et de contribuer ainsi à changer les représentations. Ce n’est pas la nudité en tant que telle que j’explore, mais plutôt le corps comme demeure de l’âme. Par-delà les formes humaines, je propose au travers de ce travail une expérience de rencontre du vivant sous ses formes animales, végétales et minérales. Embrassant ainsi les multiples manifestations du vivant dans leurs beautés riches et complexes. La célébration amoureuse du langage du corps abolit l’illusion de la séparation avec le tout. Il dévoile alors sa connexion à toutes les formes de vie. Le tissu de correspondances qui mène sous une destinée commune les animaux, les plantes, l’homme et le monde invisible s’en trouve révélé. C’est un projet humaniste, les partages des personnes photographiées participent grandement à la dimension sensible et à la portée réparatrice inhérente à ma démarche. J’ai pensé l’ensemble tel un récit de résilience, d’inclusivité, d’amour de soi, d’acceptation, de solidarité, d’espoir… »

Comment vous ai venue l’idée de produire un livre et pourquoi avoir  fait le choix de l’auto-édition ? 

« Je n’ai pas vraiment choisi l’auto édition, ni cherché d’éditeur. Mon projet a grossi rapidement et tout est allé très vite. Je préparais une exposition à la 110 Galerie à Paris quelques mois plus tard, j’allais présenter pour la première fois ma série Vivant, Le sacre du corps, le fruit de sept années de travail. J’avais donc un corpus d’images et de témoignages important et ce que je pouvais exposer était juste un extrait de ce travail. Je ressentais le besoin de réaliser un support qui réunisse et présente l’ensemble ce travail au long cours. Presque comme une célébration de ce cheminement ! Après toutes ces années, c’était un gros chapitre qui se clôturait, même si ce projet se poursuit encore. En effet, je continue de le nourrir de nouvelles images. Initialement, je pensais juste produire quelques livres, même pas une dizaine, afin que l’ensemble de ce travail soit disponible et visible dans le cadre de l’exposition. J’entendais que les livres se vendent peu et puis je pensais ne pas avoir envie de distribuer mon livre moi-même. Donc en produire un grand nombre en auto édition ne m’attirait pas. En avançant dans ce projet, j’ai confié la maquette à deux directeurs artistiques de talent, Stéphane=Damien, puis j’ai demandé différents devis pour quelques exemplaires et je me suis vite rendue compte que le coût unitaire était très élevé et qu’en faire plus ne changeait pas beaucoup en terme financier. J’ai alors décidé de lancer une campagne de crowdfunding pour en tirer 120 exemplaires. En quelques semaines ils étaient tous pré achetés et j’ai augmenté l’édition à 200 exemplaires. Quelques temps après le lancement du livre en galerie, il était épuisé et j’ai relancé un deuxième tirage de 300 exemplaires avec l’aide de mécènes : le club de collectionneurs Prisme et le cabinet d’avocats Dante. Cette deuxième édition est aussi arrivée à épuisement en quelques mois et j’ai relancé une 3 ème édition qui va arriver mi-aout. Évidemment il aurait été plus judicieux financièrement d’en imprimer un grand nombre d’exemplaires dès le départ, mais je n’avais aucune visibilité sur l’accueil de mon livre et la somme d’investissement de départ était impressionnante pour un premier ouvrage. Le coût unitaire du livre étant assez élevé, une fois les commissions des galeries ou des librairies déduites, je ne gagne pas d’argent directement, mais il contribue au rayonnement de mon travail. Amorcer la campagne de levée de fond sur Ulule était réellement difficile à titre personnel. J’avais l’impression de quémander ; et puis il y a tellement de sollicitations, de campagnes, que je doutais qu’une de plus parmi tant d’autres soit un succès. Il m’a fallu changer de point de vue et comprendre qu’en fait la campagne est un espace de (pré)vente comme un autre. Pour cela, j’ai choisi un objectif de campagne en nombre de préventes et non un montant financier à atteindre. Aussi j’ai été aidé par un proche pour concrétiser la mise en place de la plateforme Ulule et cela a été d’un grand soutien. Comme il s’agit de mon premier livre, je ne savais pas du tout si les gens qui suivent mon travail allait être sensibles à l’acquisition d’un ouvrage. Je suis donc partie sur un objectif de campagne raisonnable et celle-ci a été un succès à 260%. Finalement je m’occupe moi-même de la diffusion sur la France et la Suisse, cela s’est fait très naturellement, au fil des rencontres et n’est pas contraignant comme je le pensais. Bien au contraire à chaque fois c’est une occasion renouvelée de présenter mon travail de façon très personnelle et de créer des rencontres, notamment avec les libraires. Aurais-je vendu 500 exemplaires en un an si mon livre avait été distribué par une autre personne que moi ? Je ne sais pas, cependant il est évident que je ne peux pas diffuser mon livre de façon internationale comme un éditeur le ferait. Je cherche donc actuellement un éditeur étranger de façon à faire rayonner mon projet plus amplement. Pour un premier livre j’ai trouvé passionnant de passer par tous les postes de travail, de la création, à la conception jusqu’à la distribution. Je souhaiterais que mon deuxième livre soit réalisé avec un éditeur afin de vivre une expérience différente. Le livre est un véritable support, plus puissant qu’un portfolio. Cette série et le livre m’ont ouvert beaucoup d’opportunités d’expositions cette année, dont une exposition aux Rencontres d’Arles, à la Fondation Manuel Rivera-Ortiz. Elle est actuellement visible jusqu’au 24 septembre, réalisée avec la Galerie S, fondée par Sidonie Gaychet. La prochaine exposition sera fin septembre en Corée du Sud dans le cadre de la Biennale de Daegu. »

Quel est votre retour d’expérience suite à la production de votre livre  ?

« Je suis très heureuse de la collaboration avec Escourbiac. Cela me tenait à cœur de réaliser le livre en France avec une imprimerie éco-responsable. Mon interlocuteur principal était John Briens, il a fait le lien avec l’équipe de production qui se situe dans le Tarn et moi à Paris. Puis je me suis rendue sur place pour pouvoir suivre de près la photogravure et discuter longuement avec la personne qui imprime. D’une part, cela a permis de finaliser les choix de papier, de reliure, dans les moindres détails jusqu’à la couleur du fil de la reliure. D’autre part, le fait de créer du lien avec l’équipe de production a été véritablement important, je pense que cela a contribué à la bonne réalisation du livre. »    

Le rendu de qualité que je souhaitais

Bonjour à tous!

C’est avec beaucoup d’émotions que j’ai découvert ce matin la finalisation de mois d’efforts.

J’espérais une belle concrétisation de projet en m’adressant à votre imprimerie, et elle l’est!!

J’adresse en particulier un très grand MERCI à Christophe. Sa patience, son écoute et son professionnalisme ont largement contribué au rendu de qualité que je souhaitais pour mes illustrations.

Je suis ravie et je me tournerai à nouveau vers vous avec confiance.