Bocage, Cœur de Sarthe

Bocage, Coeur de Sarthe, beau livre photo animalière et nature de Christophe Salin, interieur


Premier beau livre de photo animalière et nature de Christophe Salin, Bocage, Cœur de Sarthe nous dévoile au travers de 140 images originales à la fois naturalistes et esthétiques la biodiversité du bocage. Cet ouvrage est le fruit de la passion du photographe pour la nature, dix ans de prises de vue pour mettre en valeur paysages, faune et flore du bocage. Les 160 pages de l’ouvrage sont accompagnées de textes informatifs et vulgarisés par Christophe Salin, biologiste de formation, afin de sensibiliser ses lecteurs à la protection de ce patrimoine naturel d’exception. La portée de ce livre dépasse les frontières du département de la Sarthe puisque l’auteur y aborde la biodiversité de différents écosystèmes que l’on retrouve dans de nombreuses campagnes françaises : les haies, les prairies, les bosquets & boqueteaux, les mares, les habitations et les plaines agricoles.

 

Au fil de ce livre, je vous emmène à la rencontre de ses habitants : oiseaux, insectes, mammifères, amphibiens et reptiles. Sans oublier certaines plantes parmi les plus caractéristiques de la Sarthe. A pas feutrés, je vous invite à pénétrer au coeur du bocage et à laisser la magie opérer. Se délecter de ce que la nature vous offre à voir, à entendre, à découvrir, à comprendre et à aimer. Tout simplement.

Christophe Salin, extrait du quatrième de couverture

 

Au milieu de cette faune bigarrée, il y a Christophe Salin. Fuselé comme un missile, le regard perçant, la clope artisanale au bec et, forcément, un téléobjectif sur l’épaule. Mais attention, Christophe, ce n’est pas n’importe quel photographe. C’est que cet homme-là est un athlète complet dans son domaine de prédilection. Tout d’abord, sa base, son socle de connaissances, est en béton armé. Détenteur d’un doctorat en biologie, le vivant, il connait. Et cette science maîtrisée, il l’a mise au service de son art. Faire une belle photo ne le satisfait certainement pas, il lui en faut plus. Ses images racontent le plus souvent une histoire. L’histoire de ces acteurs de la nature et de leur scène bocagère ou forestière.

Franck Renard, photographe naturaliste, extrait de la préface

Espaces de labeurs – Les sanctuaires de l’identité

Espaces de labeurs, les sanctuaires de l'identité - Beau livre communicant de photos de Gilles Vidal


L.A. Conseils, Cabinet Conseil et Organisme de Formation situé à Muret près de Toulouse a commandité le livre Espaces de Labeurs, les sanctuaires de l’identité au photographe Gilles Vidal. Le résultat est un beau livre communicant de photos Noir & Blanc de 60 pages, imprimées en bichromie et vernis sélectif pour leur apporter de la profondeur, et accompagnés de textes courts et épurés sur la vision de l’homme et de son travail. Deux préfaces ont été rédigées par Joël Gauthier, fondateur et dirigeant de L.A. Conseils, et Nathalie Bardouil, Directrice de projet.

 

A la question « que veux-tu faire quand tu seras grand ? » je n’ai toujours pas de réponse. En attendant d’en trouver une j’observe et tente de partager.
Entre l’humain et l’outil il y a parfois si peu d’écart que je me demande lequel des deux est l’instrument. A travers ces photographies j’essaie de trouver cet écart, cette différence, de les imaginer dans ces grands aplats de noirs ou au contraire de les deviner à travers une multitude de détails, à travers des gestes, des aptitudes, à travers ce quotidien qui demande à être déterminé, efficace, réaliste et pourtant si fragile, si éphémère. Ouvrir son espace de travail c’est se laisser aller à un portrait intimiste, strictement personnel, chargé d’espoirs, de contraintes, de satisfactions ou de peurs.

L’humain est beau. Il l’oublie parfois.
L’observer et tenter de le partager serait un beau métier.
Quand je serai grand j’aimerais bien y parvenir.

Gilles Vidal – photographe – Postface du livre.

 

Ancien élève des Beaux-Arts de Toulouse, Gilles Vidal a d’abord été architecte d’intérieur pendant près de 11 ans. En 1998, il change radicalement d’orientation pour devenir photographe. Le photographe se fait d’abord connaitre par le biais du panorama interactif en effectuant de nombreux reportages pour le compte de journaux en ligne. Depuis plusieurs années, il oriente son travail sur des recherches plus personnelles, à travers de nombreux portraits, des photos de rue prises “à la volée”, des photos de corps humains ou animaux.
Gilles Vidal est reconnaissable grâce à son travail résolument dépouillé et très graphique, et son goût pour la lumière, les contrastes, les matériaux et le sens de la composition.

 

L’impression est très belle

 

Cher John,
Un petit mot après tes vacances pour te dire que l’impression de « HS » est très belle, comme promise (je parle sous le contrôle de Patrick ;)) — On aurait pu mieux faire (peut-être ?) pour la pliure, mais au final, l’objet marche très bien, tel que nous le désirions.
Merci pour ton efficacité.
Amaury da Cunha

Nous sommes ravis des livres

Bonjour John,
nous sommes ravis des livres que nous sommes venus chercher aujourd’hui !
Encore merci pour votre travail et vos conseils,
Je vous recontacte prochainement pour les pochettes !

LOL Project, le livre

LOL Project, le livre, intérieurLOL Project, le livre, soutient les actions de l’association LOLPROJECT dans les hôpitaux.  Sur une idée originale de David Ken et de William Lafarge, le LOL Project est né en septembre 2009 avec la volonté de réaliser des portraits de fous rires d’anonymes. Le but initial du LOL Project est tout simplement de faire du bien en organisant un maximum de journées LOL Project dans les hôpitaux, et en offrant l’expérience magique du « lâcher-prise». Saisir l’éclat de rire, ce moment magique de « lâcher-prise» et de perte de contrôle ou notre image nous échappe : c’est l’obsession du photographe. Le reflet proposé est sans doute le plus proche de ce que nous sommes vraiment, libéré un instant des cloisons de nos interdits.

LOL Project, le livre, présente en détail le LOL project et toutes ses déclinaisons : LOL Care, LOL RH, LOL Event, LOL Tour, LOL Olympique, ainsi que l’association, les expositions, les conférences et le projet d’avenir I LOL PARIS. Il présente surtout le travail photographique de David Ken, la plus grande galerie d’éclats de rires au monde !

William Lafarge est Directeur de Création de l’agence de communication Pueblo qu’il fonde en 1990 avec son complice et associé David Ken. Il accompagne comme Directeur créatif et artistique de nombreuses marques basées en France et à l’étranger. Il est également auteur de romans graphiques et co-auteur d’un premier thriller fantastique avec son complice d’écriture Nicolas Gouzy.

On défini souvent David Ken,  créateur du LOL Project, comme un philosophe positif, utopiste et engagé. Figure incontournable dans le monde de la photographie publicitaire, il est né en Belgique, et a vécu à Bruxelles, Milan, New-York pour enfin se fixer à Paris. Collaborant entre Europe et Amérique du Nord entre les magazines et les marques les plus prestigieuses, David Ken prend le temps de développer ses projets personnels toujours centrés sur l’humain : les « Anges Gardien » en 2006, « Facing Paris » en 2008, et donc le LOL Project depuis 2009. Il entame un nouveau projet de livre « Traits pour traits » en collaboration avec Nicolas Gouzy, où il racontera les dessous de 25 années de portraits et de rencontres.

Benjamin Degrève : Il n’y a pas de hasard

Fin décembre 2016, Benjamin Degrève était tout heureux de voir son livre sortir des presses de l’imprimerie Escourbiac à Graulhet. Il réalisait à cette l’occasion du calage, et en direct de Graulhet via Instagram, une petite vidéo enthousiaste avec son smartphone dans laquelle il déambulait, fier et heureux, au milieu de l’imprimerie.

C’était la concrétisation de plus de deux ans d’une quête insolite à travers la France, armé de son appareil photo et de son inséparable fauteuil Voltaire. “Voltaire Tour, eux, Livre 1”, est un beau livre photo avec des portraits de gens, une série de rencontres sincères et émouvantes, et l’histoire d’une parole donnée et tenue à Jocelyne, sa mère.

Jeudi 2 février dernier, Benjamin a été interviewé par l’agence éditoriale Netalinea. L’intégralité de l’entrevue est à lire sur leur site : Benjamin Degrève, il n’y a pas de hasard. Voici les extraits concernant plus particulièrement Escourbiac l’imprimeur pour lequel le photographe ne tarit pas d’éloge sur la qualité de son accompagnement.


Benjamin Degrève chez Escourbiac l'imprimeur à Graulhet


Netalinea : par contre, dès que le travail fut terminé, c’est allé très vite pour l’impression.

Benjamin Degrève : ah oui, j’ai appelé John Briens de chez Escourbiac à la mi-décembre, lui ai envoyé les fichiers, et trois semaines après le livre était bouclé !

Netalinea : justement, comment as-tu connu l’imprimerie Escoubiac ?

Benjamin Degrève : encore le hasard (qui n’existe toujours pas) ! Et encore une histoire Humaine ! C’est un ami qui m’a proposé de l’accompagner au Salon de la Photo en Novembre 2015. J’y suis allé sans trop de conviction, et je suis tombé sur ce bonhomme avec des lunettes. John Briens. On a discuté, il m’a dit qu’il était imprimeur. Je lui ai demandé si un imprimeur éditait aussi des livres – je ne connaissais vraiment rien de ce métier, et de toutes les étapes de fabrication d’un livre. J’ai de suite cru en eux.

John m’a conseillé, il m’a surtout convaincu qu’il ne fallait pas faire n’importe quoi, que mon projet était beau et qu’il y croyait. Ça aussi c’est important, de se sentir suivi, porté même. Nous avons eu des prises de tête tous les deux, quelques moments un peu chauds, mais toujours respectueux. Je suis quelqu’un d’assez naturel, déterminé et de stressé aussi. John, et de manière générale Escourbiac, a toujours été à l’écoute de mes besoins, m’a toujours suivi, et motivé même quand j’en avais besoin. Au-delà de l’entreprise, j’ai de suite senti qu’il y avait une véritable histoire familiale derrière cette imprimerie. Je vais te dire, dès la première poignée de main chaleureuse avec John, j’étais en confiance.

Netalinea : c’était fin 2015 donc, tu avais déjà commencé ton premier crowdfunding.

Benjamin Degrève : oui. Novembre 2015. D’ailleurs, je n’ai demandé aucun autre devis à un imprimeur. Je savais que ce serait avec eux. Mon père, qui a eu plusieurs entreprises, m’a dit que j’avais eu de la chance ! Que j’aurais pu tomber mal, ou gagner quelques milliers d’euro chez un autre. Mais quel intérêt ? Pour le faire imprimer à l’étranger ? Je n’aurais pas pu avoir le contrôle de toute la création et édition.

Chez Escourbiac, ils ont vite compris que je n’étais pas un pro – même si parfois ils l’oubliaient aussi un peu, je devais leur rappeler. Ils m’ont dit de prendre mon temps, de ne pas aller plus vite que la musique. Ils ont toujours été disponibles. Et ça c’est super important, surtout quand tu ne sais pas et que tu es inquiet : j’ai toujours eu une réponse à mes nombreuses questions !

Sur la couverture par exemple, c’est John qui m’a conseillé le vernis sélectif. Puis au moment de la réalisation, dans leur locaux, au pied de la machine, c’est Philippe Escourbiac qui m’a parlé de problème technique, et qui m’a proposé d’utiliser le Soft Touch, sans supplément de prix. Il a trouvé la réponse technique, mais aussi Humaine – il savait que je n’avais pas plus de budget.

Je trouve que le Soft Touch, rappelle le velours du fauteuil !

Tout ce livre de toute façon est une histoire Humaine, une connexion d’humains, du début à la fin !


Benjamin Degrève, Voltaire Tour, eux, Livre 1, couverture


Netalinea : elle est belle ta couverture. Sobre et épurée, avec le Voltaire en filigrane.

Benjamin Degrève : oui, et c’est le vrai Voltaire hein ! Si tu regardes bien, remonte du pied droit, et tu vas voir un petit trait blanc : c’est une égratignure.  Il est abimé, c’est un vestige de tous les voyages qu’il a fait avec moi pendant tout ce temps ! D’ailleurs, c’est ma voiture qui a rendu l’âme juste à la fin du Voltaire Tour. Le Voltaire, lui, je vais faire quelques frais dessus, renforcer le fauteuil.

Netalinea : et chez Escourbiac, à l’imprimerie, ça s’est passé comment ? J’ai vu ta vidéo au moment du calage…

Benjamin Degrève : le calage, c’était vraiment impressionnant. Et j’ai été super bien reçu. Pourtant, la première émotion qui m’est venue fut de vivre un grand moment de solitude. J’avais envie de partager ce moment, et j’étais seul. C’est pour ça que j’ai fait cette vidéo d’ailleurs, pour le partager ce moment, et oublier cette solitude. Même si je n’étais pas non plus vraiment seul, j’ai eu Anaïs au téléphone, mon père, mes amis… Mais j’habite à 1000 km de Toulouse ! J’ai fait 2000 km en 2 jours pour ce calage.

Tout le monde a été adorable chez Escourbiac. Benoit, le chef d’atelier, a d’entrée été super cool. Il m’a dit de poser ma chaise, mon appareil photo, et proposé de prendre un café. Les autres aussi se sont occupés de moi, Yves, MarcChristophe, ont été adorables et à l’écoute. J’adore tout ce qui est high tech, et là, non seulement il y avait l’émotion de voir mon livre se réaliser sous mes yeux, mais en plus j’apprenais des choses, c’était vraiment instructif. J’étais comme Alice au Pays des Merveilles (rires). Je suis même reparti avec les planches aluminium, ils ont eu la gentillesse de me les laisser. Je vais les découper, les plastifier, et les utiliser pour une expo… Une conférence peut-être.

 

 

Anticlichés

Anticliché, livre photo de Jean-Marc Cédile et François Goalec, intérieur


Anticlichés est le premier livre photo de Jean-Marc Cédile, issu de ses itinérances personnelles, plus de vingt ans d’images, et réalisé en étroite collaboration avec le poète François Goalec qui en a écrit tous les textes d’accompagnement. L’ouvrage est composé de plus de 70 photographies noir & blanc réparties sur 72 pages.

Clignez de l’œil, voila un anticliché !

Le cliché, lui, c’est la carte postale, le point de vue que tout le monde connaît. Le cliché, c’est ce que l’on achète dans un bazar, c’est un aveu de conformisme.

Le photographe, lui, regarde autrement. Il offre un point de vue différent sur le monde. Il reconstruit la scène, le paysage, la situation d’un doigt qui déclenche l’émotion et ne tremble cependant jamais.

Les compositions de Jean-Marc Cédile sont toujours plein cadre, naturelles. Il nous ramène au champ essentiel, à l’original. Ses images sont telles qu’il les a vues, sans forfanterie ni trucage.

Ce sont des anticlichés.

François Goalec, extrait de la préface.

La passion pour la photographie de Jean-Marc Cédile est née au milieu des 70s avec la découverte du travail des grands maîtres américaines Ansel Adams et Edward Weston, mais c’est surtout le regard que portait sur le monde Jean-Loup Sieff qui influencera profondément sa propre écriture. Sa rencontre avec Jean-Claude Dewolf, photographe et fondateur du Studio des Plantes va définitivement sceller sa carrière. Photographe indépendant depuis 1998, Jean-Marc Cédile collabore depuis à la réalisation de visuels publicitaires et de communication pour de grands groupes industriels.

Regards d’ailleurs – 4 pays, 4 peuples, 4 histoires

Catalogue de l'exposition Regards d'ailleurs - Arnaud Robert-Gorsse & Ilan Deutsch Levitan, intérieur

Regards d’ailleurs est l’exposition du travail de deux photographes engagés : Arnaud Robert-Gorsse et Ilan Deutsch Levitan.  Ce catalogue reprend en photographies et en textes quatre photoreportages sur quatre peuples :

  • Les Tsumbas du Népal ;
  • Les Akhas du Laos ;
  • Les Hadzabés de Tanzanie ;
  • Les Vézos de Madagascar.

Des lacs desséchés de la Tanzanie aux cimes de l’Himalaya, en passant par les côtes turquoise de Madagascar et les forêts du Laos, des peuples surmontent d’immenses difficultés matérielles et trouvent leur bonheur en dehors de tout confort et de matérialisme. Situations subies par ces peuples ou choix déterminés et valeurs fondamentales ? Quelle perception de l’épanouissement cultivent-ils et quelles conséquences sur leur quotidien ? Le bonheur est-il alors accessible à tout homme, indépendamment de son environnement social et géographique ? Quelles leçons en tirer et quel recul devons-nous prendre face à l’accélération du «progrès» et l’évolution de nos sociétés ? Telles sont les racines du projet Regards d’Ailleurs, au cœur de quatre ethnies lointaines.
Préface du catalogue

Arnaud Robert-Gorsse et Ilan Deutsch Lévitan s’efforcent de faire passer des messages universels au travers de leurs photographies : authenticité, simplicité et beauté de notre monde. Ils mettent en avant la fragilité de ce monde et ses paradoxes. Leur collaboration artistique commence en 2014 lorsqu’ils décident d’allier leur passion et leur curiosité en se lançant sur la trace d’ethnies du bout du monde. Regards d’Ailleurs est la trace de cette immersion au sein de 4 pays, 4 peuples et 4 histoires.

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(suite…)

Catalogue Maison Bouisset depuis 1878 – Terres d’Albines

Catalogue Maison Bouisset - Terres d'Albine, intérieur


Ce superbe catalogue expose le savoir faire de la briqueterie Bouisset et les poteries décoratives en terre cuite et pierre reconstituée de Terres d’Albine.

Située à Albine, petit village du sud du Tarn, la Maison Bouisset exerce son activité de briqueterie depuis 1878. Reconnue pour son savoir faire dans l’art des terres cuites, la Maison Bouisset est labelisée E.P.V., Entreprise du Patrimoine Vivant, label récompensant les entreprises françaises au savoir-faire artisanaux et industriels d’excellence.

Terres d’Albine est née en 1998, par la volonté d’Alain Bouisset de développer l’activité décoration de jardin en terre cuite au sein de la Briqueterie. Le savoir faire de la famille Bouisset et sa maitrise de la Terre cuite, depuis 6 générations, ont ainsi permis aux vases languedociens de voir le jour, puis aux jarres de forme olive et goutte, les fameuses jarres dites « de Biot ». Le rendu exceptionnel de la patine et des techniques de vieillissement permettent à ces produits de se vendre tant en France qu’à l’export (Europe, Etats-Unis, Australie…), et de se retrouver dans les jardins des plus belles demeures du monde entier.

Terres d’Albine et Briqueterie Bouisset, c’est une histoire de famille issue d’une même maison : la Maison Bouisset. Vous ne connaissez peut-être que Terres d’Albine et ses grandes jarres, ses vases, ses tables, et statues patinées ?
Il ne faut pas oublier son aînée : la Briqueterie Bouisset. La balustrade du Pastus du jardin du palais abbatial de Moissac ? C’est elle ! Les bordures émaillées des jardins du château d’O de Montpellier ? C’est elle ! La toiture de la cathédrale de Monaco ? C’est encore elle !
Marjorie Bouisset, 6ème de la génération !


Catalogue Maison Bouisset - Terres d'Albine, intérieur

Catalogue Maison Bouisset - Terres d'Albine, intérieur Catalogue Maison Bouisset - Terres d'Albine, intérieur