Beaux livres
Titre : "Antichambre"
Auteurs : Max Armengaud
Textes : Philippe Berling, Michel Enrici
ISBN : 978-2-35864-082-4
Éditeur : analogues
Graphiste / Studio : Alt Studio, Bruxelles
Photogravure : Terre Neuve, Arles
Corrections : Adèle Rosenfeld
Traductions : Simon Pleasance & Fronza Woods, Timothy Stroud
Nombre de pages : 240
Tirage : 800
Façonnage : couverture + 2 rabats de 21 cm dépassant, rainage et pliage main des rabats, reliure dos carré cousu
Impression :
- Couverture : noir + 1 Pantone recto/verso + pelliculage mat recto
- Intérieur 64 pages : noir
- Intérieur 112 pages : bichromie noir + 1 Pantone
- Intérieur 64 pages : quadri + 1 Pantone
Types de papiers utilisés :
- Couverture : imprimée sur carte couchée 1 ou 2 faces 280g
- Intérieur : imprimées sur Arctic Volume FSC Mix Credit 150g
Lien vers l'auteur: maxarmengaud.com
Acheter le livre aux éditions Analogues: www.analogues.fr
Acheter le livre aux Presses du Réel: http://www.lespressesdureel.com/ouvrage.php
Acheter le livre sur le site de la FNAC: http://livre.fnac.com/a9198995/Philippe-Berling-Max-Armengaud
Antichambre
« Antichambre’ est une série de portraits d’institutions célèbres sur le territoire européen réalisés par le photographe Max Armengaud. De « Un portrait de l’Opéra de Paris », 1986/1990 au Rugby Club Toulonnais, 2012/2013, en passant par la Cité du Vatican, la Villa Médicis, le Château de Prague, la Casa Velasquez, les arènes de Madrid, le Palais de l’Elysée, la mairie de Marseille, l’Assemblée Nationale ou le Mont Saint-Michel, l’artiste pose son regard sur les attributs de représentation du pouvoir.
Descriptif : « Antichambre’ est une série de portraits d’institutions célèbres sur le territoire européen réalisés par le photographe Max Armengaud. De l’Opéra de Paris, 1986/1990 au Rugby Club Toulonnais, 2012/2013, en passant par la Cité du Vatican, la Villa Médicis, le Château de Prague, la Casa Velasquez, les arènes de Madrid, le Palais de l’Elysée, la mairie de Marseille, l’Assemblée Nationale ou le Mont Saint-Michel, l’artiste pose son regard sur les attributs de représentation du pouvoir. Opérant derrièrela scène de représentation habituelle, Max Armengaud donne une visibilité à des espaces et des fonctions qui n’ont pas une vocation de représentation, construisant ainsi un portrait humanisé de l’institution. Son œuvre, à la fois artistique et documentaire, s’inscrit dans la durée et la mémoire, au carrefour de l’historie individuelle et de l’histoire collective.
Les projets de Max Armengaud sont titanesques comme sont monumentaux les lieux qu’il choisit. Nombreux seront les individus qui habitent ces lieux et poseront devant l’objectif du photographe : entre le sujet, l’espace et l’artiste, une véritable rencontre a lieu, toujours précédée d’une longue approche. Pour que la petite chambre noire du photographe entre dans la grande chambre convoitée, le lieu même du travail des hommes et des femmes, l’attente et la négociation dans l’antichambre peuvent être très longues, mais la patience de Max Armengaud l’est encore plus. Respectueux de chacun, convenant avec ses modèles du lieu de la prise de vue, il produit des séries où les individus donnent une image du groupe tandis que les espaces donnent une image du monument. Mais chaque image laisse affleurer la personnalité profonde, la singularité de chacun.– Philippe Berling, extrait de la préface
Ce beau livre photographique accompagne plusieurs expositions d' »Antichambre » : au Théâtre Liberté de Toulon en octobre et novembre 2015, à la Maison de la Photographie de Toulon, du 10 octobre 2015 au 6 janvier 2016, et à la Galerie du Château d’Eau de Toulouse du 20 janvier au 27 mars 2016.