Beaux livres
Titre : "Pierre Tal Coat, L'atelier ouvert"
Auteur : Michel Dieuzaide
ISBN : 978-2-86853-650-3
Éditeur : Le temps qu'il fait
Maquette : mis en pages d'après une maquette de Michel Dieuzaide et Georges Monti
Nombre de pages : 104
Façonnage : format 16 x 21 cm à la française, couverture habillage plein papier, contrecollé rembordé sur carton 1200 g 20/10, 2 x gardes rapportées assorties, intérieurs 64 pages en bichromie et 32 pages en quadrichromie + intérieur 8 pages en papier vélin imprimé en quadrichromie, volume cartonné cousu, dos droit repincé
Impression :
- Couverture : quadri + pelliculage mat recto
- Intérieur 64 pages : noir + 1 Pantone recto/verso
- Intérieur 8 et 32 pages : quadri recto/verso
Types de papiers utilisés :
- Couverture : imprimée sur plein papier couché 135 g
- Gardes rapportées : imprimées sur Olin Regular blanc naturel 120 g
- Intérieur 64 et 32 pages : imprimé sur couché satin mat 100 % PEFC 150 g
- Intérieur 8 pages : imprimé sur Olin Regular blanc naturel 120 g
Pierre Tal Coat, L’atelier ouvert
Beau livre de 104 pages de Michel Dieuzaide sur le peintre français Pierre Tal Coat dans son atelier, livré avec un DVD (court métrage de 25 mn) sous cartonnage de l’éditeur, Le temps qu’il fait. Le livre contient une soixantaine de photographies en noir et blanc et en couleur réalisées début 80 par Michel Dieuzaide, jeune passionné de peinture. Des textes de Pierre Tal Coat, ainsi que divers témoignages, illustrent les photographies de l’atelier ouvert.
Le film de Michel Dieuzaide montre Pierre Tal Coat en 1983 dans son atelier – parmi ses toiles debout au sol, s’appuyant les unes contre les autres, ou étalées sur de grandes tables – et dans la nature qui « génère » son regard. Le peintre y analyse sa démarche picturale, dévoile la relation permanente qui s’établit entre ses tableaux et lui, et avoue la nécessité, pour lui qui travaille vite, d’entreprendre dans le recommencement ce qu’il perçoit sans fin. C’est un document rare et donc précieux. Le livre, quant à lui, contient les meilleures photographies (une soixantaine, en noir et en couleur) faites quelques mois auparavant par un jeune passionné de peinture qui allait être durablement marqué par cet artiste entier, sensible et nourricier.
Très proche des artistes, Michel Dieuzaide a réalisé un grand nombre de livres, et de films sur les peintres, sulpteurs (Soulages, Debré, Fenosa, Gleb…) qui accompagnèrent sa vie de créateur.
– Quatrième de couverture