Beaux livres
Titre : "Fantômes d'Anatolie, regards sur le génocide arménien"
Auteurs : Pascaline Marre
ISBN : 978-2-9551915-0-7
Création graphique : Agence Cécile Halley des Fontaines
Typographie : Perpetua par Eric Gill
Préface : Anouche Kunth, historienne (CNRS)
Nombre de pages : 148
Tirage : 500
Façonnage : habillage de couverture papier rembordé sur carton 24/10ème, gardes vierges rapportées (2x4 pages), reliure cartonnée, cahiers cousus, dos droit repincé
Impression :
- Couverture : quadri recto + pelliculage mat recto
- Intérieur : quadri recto/verso
Types de papiers utilisés :
- Couverture : imprimée sur couché moderne demi mat 135g
- Intérieur : imprimé sur Munken Print White main 1,5 150g
- Gardes vierges rapportées : imprimé sur Siro Color Dark Blue 140g
Fantômes d’Anatolie – regards sur le génocide arménien
« Comment mettre en images une histoire survenue il y a 100 ans, quand les preuves tangibles ont quasiment disparu ? Et comment traduire visuellement l’omniprésence de cette histoire sur un territoire qui œuvre, depuis, à son effacement ? » C’est à ces questions que Pascaline Marre a essayé de répondre, à l’aide de ses photographies et de ses textes, avec ce superbe livre Fantômes d’Anatolie.
Descriptif : « comment mettre en images une histoire survenue il y a 100 ans, quand les preuves tangibles ont quasiment disparu ? Et comment traduire visuellement l’omniprésence de cette histoire sur un territoire qui œuvre, depuis, à son effacement ? » C’est à ces questions que Pascaline Marre a essayé de répondre, à l’aide de ses photographies et de ses textes, avec ce superbe livre Fantômes d’Anatolie. Cet ouvrage est le fruit d’une dizaine d’années de lectures et de recherches sur le génocide arménien de l’auteur. Accompagnée d’Osman Köker, éditeur turc vivant à Istanbul, spécialiste de la question des minorités en Turquie, elle a sillonné le pays pour explorer ces lieux arméniens où il ne reste que quelques vestiges : maisons, écoles, églises, monastères transformés ou utilisés à d’autres fins.
Montrer la réalité de ce vide et de cette transformation était une façon de traduire le silence et le déni. Fantômes d’Anatolie remet en images l’indicible, le non-dit, ce que l’on ne peut voir ou que l’on ne veut pas voir.
Ce livre a été autoédité à la suite d’une campagne de financement participatif sur la plateforme KissKissBankBank