Beaux livres
Titre : "Réflexions"
Auteur : Olivier Giachino
Éditeur : autoédition soutenue par l'équipe des éditions Odyssée
Photographies et textes Olivier Giachino
Tirage traditionnel couleur : Marc Upson
Direction éditoriale Yegan Mazandarani
Direction artistique : William Kleo
Design graphique : Marie-Léa Pereira
Avec le soutien de John Briens
Fabrication : Atelier Escourbiac
Achevé d'imprimer en novembre 2023
Nombre de pages : 144
Façonnage : 24 x 22 cm à l'italienne, reliure cartonnée, cahiers cousus, dos rond, tranchefile tête et pied, habillage de couverture rembordé sur carton 24/10, embossage d'une cuvette sur le plat I, collage d'une étiquette dans la cuvette, intérieur 10 x 12 pages, gardes vierges rapportées 2 x 4 pages
Impression :
- Couverture : marquage à chaud rouge 307 sur P1 et dos
- Etiquette cuvette : quadri recto, pelliculage brillant recto
- Intérieur : quadri recto/verso
Types de papiers utilisés :
- Couverture : toile Paradise violette 7591
- Étiquette cuvette : imprimées sur couché moderne demi-mat 150 g
- Gardes rapportées : Sirio Pearl Red Fever 125 g
- Intérieur : imprimé sur Symbol Tatami White 135 g
Site des éditions Odyssée: https://www.editionsodyssee.com/
Réflexions par Olivier Giachino, autoédition soutenue par les éditions Odyssée
Réflexions par Olivier Giachino, est un beau livre du photographe rassemblant plus de vingt ans de travail argentique, jeu entre le mobilier urbain, l’oeil et la lumière. Avec cette autoédition soutenue par les éditions Odyssée, Olivier Giachino présente sa méthode simple et traditionnelle : une seule prise de vue, un développement argentique, et c’est tout. L’ouvrage est une reliure cartonnée de 244 pages imprimé sur papier Symbol Tatami White. Titres et auteurs sont marqués à chaud rouge sur la toile Paradise violette qui habille la couverture cartonnée. Une étiquette imprimée sur couché moderne et pelliculée brillant est collée dans une cuvette embossée sur le plat 1.
Une fine ligne rouge marque l’arrachement et annonce la naissance du récit.
Ainsi commence la pellicule photographique 24×36, dans une brûlure initiale qui inaugure trente-six possibilités de raconter sa zone sensible.
Cette exposition incertaine, jet de photons affamés, offre une première chance d’écrire avec la lumière.
L’amorce, unique, telle une empreinte devient promesse et invite à inscrire son regard dans le temps.
L’Amorce – Aurélien Miryuef – extrait du livre