Revues
Titre : "Revue EPIC n°12 Automne 2023"
Auteur : Revue EPiC
ISBN : 978-2-492630-12-5
Éditeur : Éditions Oblique
Directeur de la publication : Ambroise Touvet
Rédacteur en chef & Directeur artistique : Jean-Matthieu Gautier
Maquette : Agence Oblique
Chronique : Marine de Tily
Journalistes : Agathe Kalfas, Cloé Kerhoas Ozmen, Éléonore Simon
Coordination des pages "Canavas" : Cédric Roux
Comité Éditorial : Simon Danger, Camille Gajate, Agathe Kalfas, Cloé Kerhoas Ozmen, Maxime Riché, Cédric Roux
Contributeurs : Maxime Riché, Djamal Benmokhtar, Chris Harrison, Laurent Kronental
Achevé d'imprimer en octobre 2023
Nombre de pages : 176
Format : 19 x 27 cm,
Impression :
- Couverture : quadri recto/verso, pelliculage mat recto
- Intérieur : quadri recto/verso
Types de papiers utilisés :
- Couverture : imprimée sur Condat mat 300 g
- Intérieur : imprimé sur Condat mat 115 g
Façonnage : dos carré cousu, couture apparente, fil couleur, plats de couverture avant / arrière 2 x 4 pages
Revue EPIC n°12 Automne 2023
Revue EPIC n°12 Automne 2023 – Douzième numéro de la revue EPIC « Média lent – Images Larges » éditée par l’Agence Oblique. Les reportages de ce numéro sont signés Maxime Riché (Paradise, résilience environnementale et feux de forêt à Paradise, Californie), Djamal Benmokhtar (Chroniques aériennes – Entre la Terre et la Lune, dans les coulisses d’un pilote de ligne), Chris Harrison (Brighton, flânerie photographique à Brighton, Angleterre) et Laurent Kronental (Souvenir d’un futur, retour sur les grands ensembles de la région parisienne). La revue est complétée par trois articles sur la romancière Dominique Barbéris (portrait de femme), la réalisatrice Agnès Varda (Viva Varda) et Laura Serani, directrice artistique du festival Planches Contact de Deauville (Rendre concrets les rêves des photographes)
Qu’on le veuille ou non, l’actualité finit toujours par nous rattraper par la manche. Face à elle, la force de la photographie documentaire réside dans la distance qu’elle permet de poser entre soi et l’immédiateté échevelée du monde.
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Maxime Riché utilise le terme de « documentaire spéculative » – c’est bien là toute l’utilité de cette photographie-là : observer le présent, explorer le passé… et penser l’après, pour aborder plus sereinement l’avenir.Jean-Matthieu Gautier, Ambroise Touvel, extrait de l’édito