Livres

Titre : "Les Invisibles - Chroniques de l'endométriose - Volume II"

Auteurs : Anaïs Morisset Desmond & Martin Staub

ISBN : 978-2-35618-215-9

Éditeur : éditions Ampelos

Maquette : Jean-Marc Noujarède

Achevé d'imprimer en février 2022

Nombre de pages : 128

Façonnage : format 19 x 24 cm à la française, dos carré collé, couverture 4 pages

Impression :
- Couverture :
quadri numérique recto/verso + pelliculage Soft Touch recto
- Intérieur 8 pages (4 premières et 4 dernières): quadri recto/verso
- Intérieur 120 pages : noir recto/verso

Types de papiers utilisés :
- Couverture :
imprimée sur Munken lynx blanc 300 g
- Intérieur : imprimé sur Munken Pure (main 1.3) 90 g

Les Invisibles – Chroniques de l’endométriose – Volume II

Les Invisibles, choniques de l'endométriose, Anaïs Morisset Desmond & Martin Staub, éditions Ampelos

Les Invisibles – Chroniques de l’endométriose – Volume II reprend les témoignages des soixante-quatre femmes victimes de la maladie rencontrées par les artistes Anaïs Morisset Desmond, collagiste et Directrice Artistique et Martin Staub, photographes, entre 2019 et 2021. Le livre est la suite de l’exposition immersive qui s’est déroulée en plusieurs endroits de Paris entre mars et avril 2021 en collaboration avec l’association EndoFrance, et du livre dédié à l’exposition, le Volume I. Le principal symptôme de l’endométriose est les règles douloureuse, ce qui en fait une maladie mal connue, voire non reconnue. L’exposition a été financée par une campagne de crowdfunding sur KissKissBankBank.  Le livre est une reliure souple, dos carré cousu, imprimée en offset HR-UV, trame fine, sur papier Munken Pure 90 g – en quadrichromie sur les 4 premières et les 4 dernières, en monochromie noir sur le reste. La couverture 4 pages est elle imprimée en numérique sur papier Munken Lynx 300 g, et a suivie un pelliculage Soft Touch sur le recto.

 

« J’ai vu plusieurs gynécologues : autant il y en a qui étaient au courant de ce qu’était l’endométriose, d’autres pas du tout. J’ai vu beaucoup de spécialistes qui m’ont dit que c’était du ciném, que j’exagérais les douleurs, qu’une femme vu qu’elle pouvait accoucher, elle pouvait supporter des règles »

«Si je devais donner un mot à l’endométriose, je dirais que c’est un cancer qui n’en est finalement pas un, mais qui fait autant de dégât. C’est à dire qu’on ne le voit pas, mais on le sent à l’intérieur. »

Extraits du quatrième de couverture