Livres

Titre : "Solastalgia | Le poumon gauche de la nuit"

Auteur : Maya Paules | Benjamin Alexandre

ISBN : 978-2-9569385-4-5

Éditeur : Bis Éditions

Photographies : Maya Paules

Poème : Benjamin Alexandre

Conception graphique : Jérôme Bessone

Achevé d'imprimer sur les presses d'Escourbiac (81, Graulhet) en octobre 2021

Nombre de pages : 72

Façonnage : format 21 x 26 cm à la française, couverture 4 pages, dos carré collé, pose toile "vert anglais" adhésive sur le dos

Impression :
- Couverture :
noir recto
- Intérieur : quadri recto/verso

Types de papiers utilisés :
- Couverture :
imprimée sur Woodstock Arancio Orange FSC MIX Product 225 g
- Intérieur : imprimé sur Munken Print Cream main 1,8 crème FSX Mix Product 115 g

Site de Maya Payles: http://mayapaules.fr/
Site de l'éditeur: https://www.bis-editions.com/
Page KissKissBankBank du projet: https://www.kisskissbankbank.com/en/projects/edition004

Solastalgia | Le Poumon gauche de la nuit – Livre Photo | Poésie de Bis Éditions

Solastalgia | Le poumon gauche de la nuit - Maya Paules | Benjamin Alexandre, Bis Editions, intérieur

Solastalgia | Le Poumon gauche de la nuit est un livre de Photo et de Poésie entremêlant deux langages et deux temps pour voir le monde. Le regard de la photographe Paula Mayes est brut, son image a du grain ; la langue du poète Benjamin Alexandre est nue, voyageant dans le poumon gauche de la nuit. Quatrième publication de Bis Éditions, le beau livre est sobrement façonné en dos carré collé, reliure souple, 72 pages intérieures imprimées en offset HR-UV, trame fine, sur papier Munken Print Cream 115 g/m² d’Arctic Paper. La couverture Woodstock Arancio couleur orange au grammage de 225 g/m² de Fedrigoni est imprimée en noir (titres et auteurs sur plat 1, éditeur et prix sur plat 4). Bloc intérieur et couvertures font livre grâce à une toile adhésive vert anglais collée sur le dos. Son financement a été réalisé à l’aide d’une campagne de crowdfunding sur la plateforme KissKissBankBank.

 

Les photographies de Maya et les poèmes de Benjamin imaginent ce qu’un cri dans le néant peut, ce qu’une poussière peut contenir de soleil. Ils se tiennent debout dans le bois en éprouver les confins. En un mot : ils grandissent. Par là-même, s’immiscent dans l’image et la font grandir, réparent la surface égarée du monde.

Extrait du livre