Beaux livres
Titre : "Bientôt nous danserons"
Auteur : Laurent Laborie
ISBN : 978-2-9578865-0-0
Éditeur : Granon Édition
Photographies : Laurent Laborie
Textes : Laurent Laborie et Emmanuelle Lallement
Design : Le Magnifique Studio, Cyril Cabry
Presse : Anne Harstenstein
Édition : Gérard Issert et François Bouchara, Granon Édition
Achevé d'imprimer sur les presses d'Escourbiac (81, Graulhet) en Juillet 2021
Nombre de pages : 56
Façonnage : format 20 x 25 cm à la française, couverture 4 pages, habillage papier contrecollé, rembordé sur carton 24/10, intérieur 7 cahiers de 8 pages, gardes vierges rapportées, reliure cartonnée, dos droit
Impression :
- Couverture : quadri recto, pelliculage mat anti-rayure recto
- Intérieur : quadri recto/verso
Types de papiers utilisés :
- Couverture : imprimée sur couché moderne demi-mat 150 g
- Gardes rapportées : Sirio color noir 170 g
- Intérieur : imprimé sur Symbol Tatami White 150 g
Site de l'éditeur: https://www.granondigital.com/
Bientôt nous danserons, livre de Laurent Laborie
Bientôt nous danserons nous promet Laurent Laborie dans ce premier livre de photographies édité chez Granon Édition. Le beau livre présente une sélection de photographies prises à la volée, depuis une quinzaine d’années, lors de fêtes : photos anonymisées, sans tête ou en gros plans, de gens qui dansent. Un livre souvenir de bons moments à venir. Un texte sur la fête de l’anthropologue Emmanuelle Lallement , « l’essence de la fête », accompagne les clichés de Laurent Laborie. L’ouvrage est une reliure cartonnée à la française de 58 pages, imprimée en offset HR-UV, trame fine 240, sur papier Symbol Tatami White. La couverture est elle imprimée en numérique.
Comme un recueil de mémoire, un récit pour demain, Bientôt nous danserons présente une sélection d’images, de portraits coupés, de personnages non identifiés. Des moments de plaisir, de fête, invitant des paysages surpris au petit matin, des fleurs anonymes et des végétaux énigmatiques.
C’est une traversée, de collines en épaules, révélant l’instant vivant d’une époque désireuse de redonner à l’imaginaire le soin de recomposer le hors-champ. De jour comme de nuit, la géométrie des corps s’accroche à l’irruption du flash pour exposer les détails, à la volée, d’une identité fantasmée, de tissus, de mains, de sourires et de chevelures enlevées.Laurent Laborie, « Des lendemains qui dansent », extrait du livre