Revues
Titre : "Revue Epic n°2 - Printemps 2021"
Auteur : Revue Epic
ISBN : 978-2-492630-01-9
Éditeur : Éditions Oblique
Directeur de la publication : Ambroise Touvet
Rédacteur en chef / Directeur artistique : Jean-Matthieu Gautier
Maquette : Franck Ganter & Éditions Oblique
Secrétariat de rédaction : Louis Jamin
Journaliste : Agathe Kalfas
Chronique : Marine de Tilly
Comité Éditorial : Cyril Abad, Simon Danger, Wilfrid Esteve, Corentin Fohlen, Claude Ganter, Agathe Kalfas, Cloé Kerhoas Ozmen, Maxime Riché, Cédric Roux
Contributeurs : Morgan Fache, Pierre Belhassen, Valentina Piccini & Jean-Marc Caimi, Céline Croze
Achevé d'imprimer sur les presses d'Escourbiac (81, Graulhet) en avril 2021
Nombre de pages : 184
Façonnage : format 19 x 27 cm, couverture 2 x 4 plats avant/arrière, 11 cahiers de 16 pages, dos carré cousu, couture apparente, fil de couleur
Impression :
- Couverture : quadri recto/verso, pelliculage mat standard recto
- Intérieur : quadri recto/verso
Types de papiers utilisés :
- Couverture : imprimée sur Condat mat 200 g
- Intérieur : imprimé sur Condat mat 135 g
Revue EPIC n°2 printemps 2021
Revue EPIC n°2 printemps 2021 – Deuxième numéro de la revue au Média lent et aux Images larges qui souhaite offrir un espace au photographes qui partent des mois voire des années pour des reportages. En plus des rubriques déjà habituelles, quatre de ces « passeurs » sont à l’honneur sur ce n°2 : Morgan Fache nous dresse un portrait des habitants de La Réunion avec « Les hauts d’une île« , Pierre Belhassen nous propose une « Bal(l)ade en couleur« , Valentina Picinni & Jean-Marc-Caimi nous présentent « Des filles réparent les voitures » au Burkina Faso et Céline Croze rencontre un chef de gang au Vénézuela avec « Tant que nous serons en vie, nous verrons« . Epic n°2 est une reliure souple en couture apparente, fil bleu, pour une ouverture à 180 degrés. Il est imprimé en offset HR-UV, trame fine, en quadrichromie sur papier Condat mat Périgord.
Quel âge avons-nous donc ? Quarante ans ou bien plus. Peut-être beaucoup moins. Ou peut-être encore plus. Toute une génération nous colle au train tandis qu’une autre nous précède. Nous sommes à l’entre-deux. Sommes-nous à cet âge où l’on souhaite se poser, profiter ? Sommes-nous à cet âge où l’on s’interroge, on relativise ? Non, nous continuons à vouloir mûrir, plus vite et peut-être brûler des étapes. Nous sommes jeunes, trois mois à peine, nos premiers pas se posent sur un sable hésitant. Nous trébuchons mais nous allons – et cela seul compte. Et nous continuerons à tomber et à nous relever.
Jean-Matthieu Gautier & Ambroise Touvet, extrait de l’édito, page 9