Beaux livres
Titre : "Les Abbayes de l'Abbaye de Randol"
Auteur : Abbaye de Randol
ISBN : 978-2-492211-01-0
Éditeur : Éditions de Randol
Photographies et Maquette : Hermès Milio
Achevé d'imprimer sur les presses d'Escourbiac (81, Graulhet) en février 2021
Nombre de pages : 56
Façonnage : format 30 x 24 cm à l'italienne, couverture à 2 rabats latéraux de 15 cm, rainage et pliage des 2 rabats, intérieur 3 cahiers de 16 pages + 1 cahier de 8 pages, reliure dos carré cousu
Impression :
- Couverture : quadri recto, pelliculage brillant recto
- Intérieur : quadri recto/verso
Types de papiers utilisés :
- Couverture : imprimée sur couché moderne demi-mat 350 g
- Intérieur : imprimé sur couché moderne demi-mat 170 g
Les Vitraux de l’Abbaye de Randol
Les Vitraux de l’Abbaye de Randol ont été réalisé à partir de 1970 par le maitre verrier nantais Yves Dehais – il s’agissait alors plus précisément des vitraux de l’abbatiale alors en construction. L’artisan d’art est rappelé en 1982 pour les vitraux du réfectoire et de l’oratoire Saint-Benoit, et pour finir en 2009 par un portail d’entrée et deux vitraux de chœur. Yves Dehais a alors 80 ans passés. Ce beau livre illustré publié par les éditions de Randol présente l’œuvre du maitre verrier à l’Abbaye : tous les vitraux sont commentés. L’ouvrage est une brochure de 56 pages, dos carré cousu à l’italienne, avec une couverture pelliculée brillant à rabats latéraux, imprimée en offset HR-UV, trame fine 240, en quadrichromie sur papier couché moderne demi-mat.
Découvrir les vitraux de l’Abbaye Notre-Dame de Randol, c’est entrer dans une harmonie, harmonie entre l’abbatiale de béton et ses verrières, entre art et spiritualité bénédictine, entre esthétique et profondeur des mystères de l’histoire sainte.
« Ma vie a toujours été attirée par le sacré. »
Cette confidence du maitre verrier, Yves Dehais, faite à Randol à la fin de sa vie, exprime l’orientation qui fait l’unité entre les éléments de cette harmonie, celle-là même qui est au fondement de la vie monastique, la recherche de Dieu. Cela passe aussi par le souci du beau, et c’est ce qui explique l’alliance, largement assumée par la tradition monastique, entre art et christiannisme.Quatrième de couverture, extrait