Beaux livres

Titre : "Mazamet, Regard sur le confinement, 17 mars -11 mai 2020"

Auteur : Benjamin Galindo

ISBN : 978-2-9572953-0-2

Conception graphique : Patrice Camparmo

Auto-édition

Nombre de pages : 64

Façonnage : format 15 x 21 cm à la française, couverture 4 pages, 4 cahiers de 16 pages, dos carré cousu collé

Impression :
- Couverture :
bichromie noir + gris recto/verso, pelliculage mat anti-rayures recto
- Intérieur : bichromie noir + gris recto/verso + trame 240

Types de papiers utilisés :
- Couverture :
imprimée sur couché moderne demi-mat 300 g
- Intérieur : imprimé sur couché moderne demi-mat 150 g

Mazamet – Regard sur le confinement – Benjamin Galindo

Mazamet, regard sur le confinement, 17 mars - 11 mai 2020, Benjamin Galindo, intérieur

Avec ce beau livre photo de 64 pages, Benjamin Galindo porte un regard sur le confinement dans sa ville de Mazamet, entre le 17 mars et le 11 mai 2020. Une soixante de photographies argentiques en noir et blanc afin de redécouvrir une ville, sa ville, que l’on n’avait jamais connu ainsi déserte. Tous les clichés ont été pris par le photographe sous confinement, pendant la sortie quotidienne d’une heure, muni de la fameuse attestation. Avec ce premier livre, véritable déclaration d’amour en photos à sa ville, Benjamin Galindo effectue un saisissant arrêt sur images sur cette période qui restera dans l’histoire. L’ouvrage au format à la française et à la reliure souple est imprimé en offset, encres HR-UV, en bichromie noir et blanc sur couché moderne demi-mat. La couverture est recouverte d’un pelliculage mat anti-rayures.

 

Il y a quelque chose de fascinant de découvrir une ville, sa ville, celle que l’on croît connaître par coeur mais qui dévoile, désertée, ses rues, ses façades, ses perspectives, ses terrasses de café inertes, ses rideaux baissés, ses églises à cause ou grâce au confinement.

Mazamet recèle bien des charmes et des richesses. Au cours de ces promenades a germé l’idée de vous faire partager par cet ouvrage, modestement, cette ambiance particulière quand le coronavirus avait envahi notre quotidien.

Amoureux de la photographie argentique, j’ai choisi d’utiliser le noir et blanc pour son côté atemporel, la part de mystère y reste très présente. L’ombre y retient les détails, ne dévoile pas tout. Elle permet à l’imagination de travailler. C’est peut-être la chose la plus importante pour moi.

Toutes les photographies ont été réalisées avec un boîtier Minolta optique 35 mm, film Ilford Delta 100 et Delta 400.

Benjamin Galindo – Juin 2020 – Extrait du livre