Jean-Marie Périer – Catalogue Galerie du Causse – Villeneuve d’Aveyron

Le catalogue de la Galerie du Causse, centre d’art de Villeneuve d’Aveyron, reprend la collection permanente des photos de Jean-Marie Périer « la mode des années 1990 », et plus généralement des photos prises du printemps 1990 à l’automne 2001. Après ses débuts dans les années 50 à Marie-Claire et Jazz-Magazine, puis l’aventure des années 60 de « Salut les copains », Jean-Marie Périer a…

Descriptif : le catalogue de la Galerie du Causse, centre d’art de Villeneuve d’Aveyron, reprend la collection permanente des photos de Jean-Marie Périer « la mode des années 1990 », et plus généralement des photos prises du printemps 1990 à l’automne 2001. Après ses débuts dans les années 50 à Marie-Claire et Jazz-Magazine, puis l’aventure des années 60 de « Salut les copains », Jean-Marie Périer a consacré une quinzaine d’années, à partir de 1974, à la réalisation de longs-métrages et de films publicitaires aux USA. En 1989, sa sœur Anne-Marie qui dirigeait alors le journal « Elle » lui propose de la rejoindre.Jean-Marie Périer accepte et fait son retour en France et dans la photographie dans le monde de la mode. « Finalement, les couturiers étaient un peu les rock-stars des années 90, j’étais donc en terrain connu ».

La « Maison de la Photo » ouverte en juillet 2015 a Villeneuve d’Aveyron dédiée aux musiciens des années 60 étant un succès, lorsque Marie-Ange et Daniel Delpech m’ont fait part de leur décision de monter un centre d’art dans ce village, je décidai aussitôt de m’associer à leur entreprise. J’ai vu là un moyen de montrer une autre facette de mon travail, à savoir mon incursion dans l’univers de la mode. Mais j’ai surtout saisi l’opportunité de travailler avec des gens que j’estime et qui, tout comme moi, ont envie de mettre Villeneuve en valeur. Ils ont toute ma confiance, avec eux je peux aller les yeux fermés, ce qui, vous en conviendrez, n’a pas de prix pour un photographe.
Depuis que je suis né j’entends vanter les mérites de la décentralisation, mais force est de constater qu’hélas tout continue à être décidé dans la capitale. Or je crois depuis longtemps que l’avenir est au retour au village et aux communautés de sentiments, c’est pourquoi depuis plus de vingt ans je mise sur la province en général et sur l’Aveyron en particulier.
Et j’ai la ferme intention de continuer.
– Jean-Marie Périer, quatrième de couverture